BUDGET : DEUX EXEMPLES DE DÉPENSES CULTURELLES TOXIQUES À SUPPRIMER EN URGENCE

Il est maintenant reconnu que les dépenses de l’« Etat culturel » lango-mitterrandien ont été parmi les plus contre-productives au monde, en la matière.

Le soutien exclusif au seul art conceptuel et chargé d’idéologie (dans une stratégie de type réalisme-soviétique, mais à l’envers)  a commis, en 50 ans, des dégâts considérable en termes d’éradication du sens, de subversion -subvention ravageuse , d’auto- déconstruction masochiste, de destruction de l’écosystème naturel de l’art  et de dévalorisation des œuvres à contenu vraiment artistique et à valeur patrimoniale ….Une calamité nationale, dont il faudra bien, un jour, faire le bilan financier, quand nous seront sortis de l’état de sidération où nous sommes encore. Un investissement des plus contre-productif, car la perte financière globale en termes de dévalorisation de  la vraie création  à valeur patrimoniale est bien dix fois le coût de dépatt…Sans parler du préjudice morale et artistique.

Une alerte sur le sujet a été adressée à Michel Barnier :

Deux exemples dépenses culturelles toxiques : les FRAC et les écoles des Beaux-arts.

1 – les FRAC (Fonds régionaux d’art contemporain)

Image jointe : une œuvre typique de FRAC

Les collections de FRAC sont faites à 90% d’un art conceptualo-bidilaire, casseur de codes, subversif de pacotille, très élitaire et destructeur du lien social.

Ces collections sont totalement indexées à l’art du grand marché spéculatif international  sans valeur artistique intrinsèque, et dont le Directeur de la foire Art-Basel lui-même , a dit, je crois,  qu’il ne vaudra plus rien financièrement dans 10 ans ou 20 ans

Des collections qu’on ne pourrait donc même pas vendre aux enchères aujourd’hui pour récupérer le dixième des sommes d’argent public qu’elles ont coûté en achat aux galeries financières, en conservation, en bâtiments de stockage et d’exposition, et dont la vente ne paierait même pas le prix de leur transport à la déchetterie la plus proche.

Des collections, qui, une fois évacuées de leurs luxueux bâtiments pourraient laisser la place à la véritable création d’aujourd’hui qui n’a jamais aussi riche et diverse et pour faire revenir le vrai public d’amateurs d’art,  autre que celui habituel des quelques  cultureux snobinards locaux cultivant leur entre-soi identitaire de classe au frais du contribuable.

Deux  textes sur les FRAC :

  • Du conceptualo-buduliare plein les FRAC :
  • Pourquoi les Frac n’achètent que dans  hautes galeries financières

2 – Les écoles des « « Beaux » – Arts

L’appellation-même de ces écoles me semble aussi cocasse  que l’ ENHV- « Ecoles Nationales des Hautes vertus » ou bien ENSHP -« Ecoles nationales Supérieres de  Poésie » ..

C’est Mr Bustamente, ex-directeur de l’Ecole nationale des Beaux-Arts de paris, (aujourd’hui académicien des Beaux-arts pour sevices rendus à la nation ), qui déclarait qu’il n’y avait pas un élève sur cent de son école qui deviendrait vraiment artiste, mais que c’était cela qui faisait le charme de cette école, car elle échappait ainsi à la logique capitalo-productiviste.

Les non-artistes diplômés de cette Ecole, à leur sortie après 5 ans d’enseignement, s’activeront donc à la production d’œuvres conceptualo-bidulaires qui ne servent à rien, mais qui seront acquises au prix fort par les FRAC et seront exposée en galeries municipales subventionnées… Tout cela dans  un circuit fermé d’auto-promotion de la vacuité surintellectualisée, coûteux pour les collectivités locales  et terrifiant, tant pour les artistes indépendants,  que pour les  galeries prospectives.

Notons que , dans ces écoles, la peinture, le dessin, la gravure, le savoir- faire, l’intelligence de la main, ont été ringardisés voire interdits au profit d’une conceptualisation de l’inepte et d’une sur- mentalisation d’un décervelage ubuesque et d’un activisme pédago-sexuel effréné de type Catherine M.

Notons que les collectivités locales, qui alimentent finacièrement à 89% de leur budget, n’ont rien à dire sur le contenu d’un enseignement délirant, totalement contrôlé par le Ministère qui n’en paie que 11% 

Notons qu’il n’est absolument pas envisageable que ces écoles passent dans le giron de l’Education Natianale, car un tel encadrement  serait considéré comme un crime contre le n’importe-quoi garant de la liberté créative..

Notons qu’il y a a de moins en moins de candidatures pour le poste de professeur et surtout d’élève, car il commence à se savoir partout que cette formation est celle du chômage ,  du glandage assuré et de l’assistanat à perpétuité.

Tout cela expliquant donc la crise que traverse ces écoles.

Crise dont il est question dans les documents dont je vous donne ici les liens d’accès :

Portes ouvertes écoles d’art

Enquête écoles d’art

Ensba paris

Le rapport Oudart :

Un bidule typiquement fraqueux

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