FAUDRA-T-IL CULPABILISER AUSSI LES CONSOMMATEURS D’ART « CONTEMPORAIN » ?

Le parallèle que cette question implique entre les addicts à l’AC et les consommateurs de canabis ou de cocaïne, peut paraître  un peu osé…  de prime abord.

Mais enfin, quand on voit le côté complétement délirant des textes des critiques d’art spécialisés en  art contemporain , on peut se poser la question de savoir s’ils n’ont pas fumé la moquette, ingéré des psilocybes hallucinogènes  ou quelqu’autre subtance illicite,  avant d’enfourcher leur plume.

Ne dit-on pas aussi que le trafic d’art comtemporain peut être aussi lucratif que celui de la drogue …et que les deux peuvent se conjuguer dans le recyclage et blanchiment des l’argent du narcotrafic ?

N’est-il pas aussi permis de soupçonner les gens que l’on voit sur la photo jointe, entrain d’examiner  avec une telle attention un chaise trouée, d’avoir abusé de substances psychotropes décervelantes… ou bien d’être dans un état de délabrement psycho-socio-pathologique,  qui ne peut que les inciter à en absorber.

N’est-il pas permis de voir quelque rapport entre la libéralisation du  pétard et celle  de  l’AC dans comme outil d’endoctrinement au progressisme artistique et culturel ?

Enfin , il paraît que le FRAC grand Large des Hauts de France, va élargir son panel de soins pour le bien-être, (sophrologie, éveil corporel, relaxationn , reflexologie plantaire, par l’absorption contrôlée de chicorée hallucinatoire importée du Nicaragua.

Lire ici :

2 thoughts on “FAUDRA-T-IL CULPABILISER AUSSI LES CONSOMMATEURS D’ART « CONTEMPORAIN » ?”

  1. Jusqu’à ce jour j’ignorai ce qu’est un FRAC; j’en ai eu un petite aperçu grâce à vos textes; en effet il faut le dire le ou la FRAC contient les productions de ce qu’il y a de mieux dans le bulbe ramollis de nos néo-génies. En ce qui concerne la photo de la chaise trouée qui semble être observée (Il faut être prudent) par deux hommes et deux femmes, nous pourrons en déduire que ces personnes analysent et évaluent le prix d’un tel chef d’oeuvre, ou bien
    qu’ils sont en soin dans un établissement spécialisé, ou bien que certain produits interdits à la consommation font hélas leurs effets néfastes sur eux. En tous cas ce ne sont pas des rempailleurs de chaises, qui maîtrisant parfaitement leur métier savent d’un seul coup d’oeil ce qu’il convient de faire pour que cette chaise puisse à nouveau accueillir adéquatement les parties charnues d’une personne. Sans être macho, j’observe qu’il suffit de deux femmes, pour trouver des réponses à des questionnements que nous ne pouvons imaginer. Les hommes très attentifs, essayent de paraître aussi savants que les dames. Pour conclure nous avons la preuve que l’exploitation de la stupidité humaine ( Il Y a d’autres mots au choix) se porte bien et de mieux en mieux: « Vanité des vanités rien n’a changé sous le soleil ». L’Ecclésiaste, et que les femmes seraient moins atteintes que les hommes; il faut savoir que dans les temps anciens les Déesses faisaient l’objet de rites sprituels d’adoration et que les sociétés furent matriarcales.

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