Le monochrome a toujours été une des formes d’expressions artistiques des plus radicalement « contemporaines » et avant-gardistes
Chacun connait les monochromes d’Oliver Mosset et de Claude Rutault, qui en ont été les précurseurs et dont la valeur intellectuelle et financière des œuvres est gigantesque sur le marché spéculatif de l’inepte artistique.
Le premier problème avec cet art minimal, c’est que tous les monochromes se ressemblent et se valent, et que tel monochromisme peut accuser un autre de plagiat et réciproquement…Cela devient donc un vrai casse-tête juridique, qui n’est pas prêt d’être résolu.
Le deuxième problème est celui du droit d’auteur et de la protection de la propriété intellectuelle du monochrome. Car existe- t-il une propriété intellectuelle à défendre et faire respecter pour une vacance de sens.
Et c’est bien à ce problême de fond auquel L’ADAGP, (Société de gestion des droits des auteurs dans les arts graphiques et plastiques) est confrontée, car on imagine combien il est ardu de gérer la propriété intellectuelle du Rien consubtantiel à la monochromie, qui , en plus, n’appartient à personne … ou bien à tout le monde.
Le troisième problème à résoudre est celui de comprendre pourquoi , compte-tenu des deux premiers problèmes , l’ADAGP a organisé cette expo de monochromes d’origine indéterminée (image jointe ) en ses locaux… Là, on est en face d’un mystère d’une profondeur abyssale.
La quatrième problème, c’est l’ADAGP en soi …. en
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