On apprend qu’ Antoine De Galbert, richissime collectionneur , héritier des magasins Carrefour, a mis en vente 200 œuvres  de sa collection chez Piasa

Étrange antant que paradoxale  collection, qui se caractérise par le fait que s’y côtoient quantité de merveilleuses œuvres d’art brut et singulier avec leurs pires ennemies, c’est-à-dire le plus épouvantable  de ce que peut excréter l’esthétique posturo-conceptualo-bidulaure d’État représenté notamment par des atrocités  de Pierre Ardouvin, Arnaud Labelle-Rojoux, Bertrand Lavier, Miriam Cahn, Spencer Tunick, Andres Serrano, Jan Fabre, Annie Leibovitz, Jonathan Loppin, etc..

Questions :

• d’où vient cette terrible bipolarité , cette cruelle schizophrénie ?. …de quel possible traumatisme psycho-familial ?
• cette vente serait- elle une façon de résoudre cette douloureuse contradiction (puisqu’il ne s’agit probablement par de pallier à des difficultés financières)
• mais pourquoi se séparer de la partie « art brut » la plus humaine , saine et rédemptrice ,  pour ne garder que la plus pathos, atroce  et débiltante ?

Quelqu’un peut-il me fournir des réponses à ces questions ?

Toutes les infos sur la vente chez Piasa ici :

https://www.piasa.fr/fr/auctions/collection-antoine-de-galbert-art-brut-compagnie