
Yves Aupetitalot, l’ex- directeur du Magasin-Centre National d’Art Contemporain (de haute contemporainéité et de basse fréquentation) , licencié en octobre 2015 pour faute grave, par suite d’accusations concernant ses « méthodes de travail aux conséquences néfastes sur la santé des salariés et la pérennité de la structure ». vient d’obtenir obtenu réparation.
Il sort donc aujourd’hui de son obligation de réserve pour dire que « Grenoble est un champ de ruines culturel »…
…Bonjour l’ambiance en ce Haut – lieu de l’art posturo sociétal, éco-responsable , permaculturel, décolonial, transgenre et transectionnel, mobilité douce et toilettes sèches, tel qu’il peut s’épanouir en pays d’écologie radicale et avec le soutien d’Eric Piolle (Piolle-Pot pour les intimes) , maire khmer-vert de la ville.
C’est Madame Béatrice Josse qui avait succédé à Mr Aupetitalot à la tête de dispositif… (Après une courte période de transition où le « Magasin » débaptisé en « Supérette » avait été livré aux ardeurs picturales d’ une asso de street-artistes punk à chiens locaux).
Cette ex-directrice du FRAC-Lorraine , n’a tenu le poste que très peu de temps.( voir copie jointe de l’article du Monde)

Elle est aujourd’hui quelque part on ne sait où, en congé maladie longue durée pour profonde dépression nerveuse. Elle était pourtant des plus coriaces . C’est elle qui déclarait « – « J’ai aussi une vision un peu féministe de l’art, privilégiant le regard des artistes femmes par rapport à des situations politiques. Les hommes ont tendance à ériger des choses… L’érection… Je tente bien modestement de déjouer les stéréotypes du masculin, phallique et démonstratif qu’on associe avec la «nécessaire» visibilité d’une collection…Il y a plein de femmes nues dans l’histoire de l’art. Mais quasiment pas d’hommes. Je voulais une bite dans la collection » (mots lâchés après l’achat d’une photo de Sophie Calle intitulée Le Divorce (1994) où on la voit, derrière son mari, lui tenir le sexe pendant que celui-ci urine).
Au vu de ces trois tas de sacs plastiques (avec des yeux semble-t-il) on comprend très bien à quel point ce CNAC peut être dangereux pour la santé psycho-mentale des personnels, et pourquoi ils peuvent s’entre-dévorer comme des bêtes en cage.
Plus d’infos ici sur toutes les histoires du Magasin :https://www.placegrenet.fr/2025/04/25/yves-aupetitallot-ex-directeur-du-magasin-cnac-grenoble-est-un-champ-de-ruines-culturel/651076
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