« L’art en plus » est le nom d’une agence conseil en stratégie culturelle qui « connecte durablement les marques aux arts et à la culture »…
Parmi les quelques clients qu’elle conseille et« accompagne » culturellement , il y a la Commission Royale saoudienne pour AlUla (RCU), la Fondation de Vernard Benêt, la fondation Lee Ufan (image jointe) et la MAIF, Mutuelle Assurance des Instituteurs de France, « assureur militant », dont le « MAIF Social Club *» ( un concept communicationnel inventé par la dite agence) décerne chaque année son prix de sculpture à un jeune artiste émergent de préférence conceptualo-posturo- bidulaire, tel que François-Noêl Fabre dont je vous joins l’image de l’oeuvre ( une pile de 7 sacs de ciment) primée par les instituteurs de France
Je viens de recevoir d’Eugénie Vignon qui travaille en cette agence le mail suivant :
Conformément aux dispositions de l’article 21.2 du règlement général de protection des données (RGPD), je vous prierai de bien vouloir supprimer mon adresse professionnelle de vos fichiers d’envoi.
Je vous rappelle que vous disposez d’un délai maximal d’un mois suivant la réception de ce courriel pour répondre à ma demande, conformément à l’article 12.3 du RGPD.
Faute de réponse de votre part dans ce délai imparti, je saisirai la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL).
En vous remerciant par avance de bien vouloir me tenir informée, je vous prie de croire, Madame, à l’expression de mes sentiments distingués. Eugénie
Je lui ai répondu :
« sous cette menace de me dénoncer à la gestapo, bien sûr que je vous supprime illico presto
l’art en plus, sera donc en moins…déjà qu’il n’y a guère d’art dans votre entreprise de com »
Eugénie me répond :
« Chère Madame,
Je vous remercie d’avance et vous souhaite une excellente semaine.Eugénie »
Ben voilà : l’affaire est donc close et j’en suis bien soulagée.
Mais voici ce que je réponds habituellement
à un.e fonctionnaire de l’art contemporain, directeur.trice. de FRAC de CAC ou de MAC, quand il.elle me demande de ne plus lui envoyer mes textes « malveillants et nauséabonds » :
OK , Nous vous supprimons volontiers de nos liste de diffusion.
Je me permets cependant de vous préciser que ce mail ne vous était pas adressé à titre personnel, mais professionnel. …à vous, en tant qu’agent salarié de la fonction publique qui se devrait , déontologiquement, d’être attentif à tout ce qui concerne son domaine de compétence…Aussi ce refus d’être informé devrait-il pouvoir être considéré , comme une faute professionnelle…
J’ai ainsi une petite collection de réponses cinglantes à mon égard que je publierai dans leur totalité un de ces jours
*Le Maif social club



Quand les travaux vont-ils débuter ?
hi