DANS CET « ANGELUS DE CATHERINE MILLET », je m’étais amusé à mélanger deux icônes de l’AAAaaart (baillement), un tableau historique un peu moche et une personnalité de l’art content pour rien.
Étant parfaitement iconoclaste par nature, par conviction, par principe et par opportunisme, je me suis dit que le mariage des deux ne pouvait que faire prendre une sauce inévitablement incollable aux fonds de casseroles de l’histoire (de l’AAAaAAAarrrt-baillement).
Hélas, malgrés son intronisation séculière lors de la sauterie organisée pour les 150 ans du grand barbecue naturiste de Barbizon, il n’en a été fait mention dans aucun des médias de l’ami Bolloré.
Ça m’attriste un peu, mais c’est la vie…. tant pis tant pis.