QUAND LA COUR DES COMPTES TANCE LE MINISTÈRE DE LA CULTURE

Voici le lien qui vous permettra de lire le récent rapport de la Cour des Comptes sur le fonctionnement du Ministère de la Culture

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/58111

Buren et ses colonnes : une fierté du Ministère

Cette analyse très technocratique est un gros paquet de mots aussi étouffe-chrétien qu’une pâtisserie ottomane ou qu’un article de Dagen (voir plus loin).

On n’y comprend pas grand chose, mais ce qu’il en ressort, c’est que le Ministère pourrait mieux faire… Dans quel but ? Ça n’est pas précisé…

Moi, je pense que plus le Ministère est déficient, mieux c’est…Et, plutôt que d’essayer vainement de l’améliorer,  il serait bien mieux de le supprimer et de ne garder que son versant Patrimoine.

Le supprimer, oui…

– compte-tenu des ravages que l’interventionnisme d’Etat a pu commettre depuis quarante ans dans le champ des la création artistique.- et qu’il faudra des années à réparer. (un aspect des choses qui échappe forcément à la grille de lecture et aux critères d’évaluation de la Cour des Comptes)

– Compte-tenu des Buren, Hyber, Lavier, Mosset, Rutault, Veillan, et autres enflures, purs produits ou artefacts sans contenu vraiment artistique d’un appareil institutionnel décérébré livré à lui-même…et que l’écosystème naturel de l’art, une fois restauré, aura bien du mal à résorber et oublier.

Bonne lecture !

1 thought on “QUAND LA COUR DES COMPTES TANCE LE MINISTÈRE DE LA CULTURE”

  1. Alors là, ma chère Nicole, sauf votre respect, je ne suis pas d’accord avec une suppression pure et simple. On peut s’honorer d’avoir été parmi les premiers à conférer un ministère à la culture, ce n’est pas le ministère des arts c’est le ministère de LA culture, qu’elle soit artistique, scientifique, patrimoniale etc… Il est évident que ce qui sert de ministère de la culture, dans ses postes les plus importants, est à éradiquer mais je pense qu’il est important de définir une vraie mission à un ministère de la culture, qui n’est évidemment pas d’engraisser quelques petits marquis et marquises parisiennes snobs, mais pas uniquement de préserver et entretenir le patrimoine. Il faut juste que les choses soient définies simplement pour éviter les dérives que cette pseudo élite parisiano centrée s’est octroyée petit à petit depuis quelques décennies pour en arriver où nous en sommes, une petite mafia branchouilles et repliée sur elle même qui profite outrageusement de l’argent public.

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