QUAND LA CORSE CÉLÈBRE « SON » PLASTICIEN CONTEMPORAIN

Tout insulaire qu’il soit le FRAC-Corsica, n’a jamais affirmé son indépendance par rapport au continent et à son esthétique conceptualo-bidulaire ministérielle, nationale et internationale

Cet hommage à son plus célèbre plasticien devenu produit artistico-intello- financier parmi les stars françaises de la catégorie, prouve que la Corse en matière d’art, ne fait pas encore partie des pays non alignés,… Elle  n’a pas encore fait péter son FRAC , pourtant symbole de la colonisation culturelle imposée par la France

Ange Leccia est le prototype de cet artiste- prof , dont la retraite sera assurée. Les FRAC s’arrachent ses œuvres, dont la vertu première est de « réinterpréter le ready-made Duchampien ». Il est un virtuose du tas de tout ce que l’on veut à valeur puissamment  symbolique, métaphorique, ou sociétalement questionnatoire…Un modèle du genre

« Chez Ange, il y a une dimension de souvenir mais jamais de nostalgie, nous déclare  le directeur de Corsica-FRAC, et une énergie folle qui traverse toutes ses réalisations Ouarf !…dont certaines créent une trame mnésique où le souvenir n’a rien d’un matériau inerte ». Gniark ! Gniark !

Mais je vous laisse lire  vous-mêmes l’article de Corse Matin :

le professeur explique le vertus du tad de boule
encore des boules questionnatoires

https://www.corsematin.com/article/culture-loisirs/2491097950536215/art-contemporain-ange-leccia-fait-ce-quil-veut-au-frac-corsica

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