Vous êtes « critique d’art »….Vous vous voyez écrire un texte poétique sur Daniel Buren, Bertrant Lavier, Tania Mouraud ?
Non, bien sûr. Il faut laisser cela aux « technos » de la critique, non encombrés de sensible, d’exigence littéraire ou d’affect dans leur approche de l’art. Ils savent aligner les références et les éléments de langage qui conviennent pour un art dont la conceptualité ne s’encombre pas non plus de sensible , d’affect ou de mystère poétique… D’ailleurs l’IA et SNAP GPT ne vont pas tarder à les remplacer avantageusement.
C’est dans ce contexte de déconstruction généralisée que se produit l’apparition miraculeuse de la galerie Amarevo , qui se propose de redonner une dimension poétique et littéraire à la critique d’art…cette dimension que Baudelaire préconisait il y a longtemps (texte joint)
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