(Ce texte est envoyé aussi à tous les députés et sénateurs…même s’il est probable qu’il sera bloqué par leur attaché parlementaire et qu’aucune réaction ne soit à en espérer )
Je vous joins quelques éléments d’info sur l’exposition intitulée « Résistances » , qui a lieu au FRAC-Grand Large des Hauts -de- France.
Cette manifestation(où l’on trouve une mitrailleuse protégée par des sacs de sable) est symptomatique de l’état de délire psycho-mental (et dans ce cas paranoïaque) où se trouve l’ensemble des FRAC, après 50 ans de consanguinité dégénérative dans l’enfermement d’un gauchisme culturel on ne peut plus « résistant », subversif, déconstructif et casseur des codes bourgeois.
Certes, ce délire FRAC n’est qu’un petit aspect du grand délabrement des valeurs qui affecte l’ensemble du service public de l’audiovisuel et de la culture…et qui affecte plus largement et en tous domaines, la bureaucratie gouvernante de l’ « Etat profond ».
Certes la dépense publique pour l’entretien des FRAC est infinitésimale au regard des milliards de la gigantesque gabegie que l’Etat entreprend aujourd’hui de contrôler.
Mais si, budgétairement, ces dispositifs sont négligeables, les ravages que fait la puissance publique à travers eux, sont considérables en termes de disqualification de 90 % de la création actuelle et de dévalorisation d’un potentiel patrimoine culturel.
Or, il n’y a qu’une reforme structurelle profonde de l’appareil d’Etat qui puisse faire cesser ce carnage…Or, il n’y a que le législatif qui puisse faire procéder à ces indispensable réformes (puisqu’on n’a jamais vu un réveil-matin se remettre à l’heure lui-même)
Alors, messieurs-dames les parlementaires , ayez le courage d’affronter ce problême des FRAC…pour commencer…prenez courageusement le risque d’être réactionnairiser pour enfin oser reconstruire après 50 ans de déconstructivisme progressiste forcené … La nation vous en sera reconnaissante.
Il serait en effet temps, alors que l’on demande un effort à la Nation pour réduire les déficits, de cesser de jeter de l’argent par les fenêtres à grandes brassées pour ce qui n’est qu’un monceau d’ordures et que quelques parasites suceurs d’argent public appellent « art contemporain ». Il y a un moment où il faut arrêter de passer pour des pigeons.