Cette expression résume parfaitement ce qui définit le mieux ce qui, d’un système pratique d’échange, est devenu une des plus grosses plaies cancéreuses qui métastasent la société.

La création est devenue Art dés qu’il y eut possibilité d’en faire du pouvoir et du pognon.  Les classes dominantes s’en emparèrent dès qu’elles comprirent que c’était un excellent moyent d’inféodation de ce qu’elles considéraient comme des esprits faibles. De nos jours, de plus, les sommes relatives à la spéculation et à la marchandisation de l’art sont délirantes ce qui attire tout ce que le monde de l’argent enfante de plus vénal et de plus dépourvu de scrupules. 

Une fiction destructrice concentrée dans les mains sales d’un micro milieu, qu’il soit institutionnel et/ou fortuné, qui prive le monde de ce besoin naturel et vital qu’est la création, et ce, de sa simple vision à son usage quotidien. Qu’ils en soient conscient ou non d’ailleurs, il suffit de voir les airs de vainqueurs des agents de cette engeance dans les vernissages mondains : critiques et sociologues de l’art, galéristes et marchands, artistes stars, ministres et sous ministres de la culture etc. nageant dans la plus parfaite satisfaction de leur entre soi.  AFFLIGEANT.

Le mécanisme qui permet cela est désormais bien connu, il s’appuie sur la préservation de la classe supérieure par celle immédiatement en dessous etc, un travail de sape légitimant qui fait que les classes dites «moyennes plus» (idiots utiles des «élites») s’offusquent dès qu’on ose remettre en question les prérogatives des dominants, alors qu’eux aussi n’en sont que des victimes (même si leur sort est confortable). Force est de constater que ce n’est pas près de s’arrêter et qu’il n’y a que peu d’échappatoires à cette confiscation nauséabonde, et c’est valable pour tous les domaines de la vie dont la bourgeoisie s’accapare et s’arroge le droit, autrefois divin et aujourd’hui financier, de s’approprier des biens communs à tous. Tout ce qui est issu de la culture populaire finit aussi dans les pattes de la bourgeoisie qui s’en déclare alors spécialiste et y colle ses valeurs de merde, il suffit de voir ce que sont devenus la bande dessinée ou le street art pour le comprendre aisément.

IL FAUT INTÉGRER ÇA LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE ! 

Le sens de la vie c’est ce qui donne un sens à la vie ! LOVE !

Jean-Jacques Tachdjian

VIVE LA RÉVOLUTION PERMACULTURISTURITURELLE GLOBALE!