LE CONTRE- RAPPORT VÉRAT FACE AU  RAPPORT OUDART…AVEC FÉLICITATIONS DU JURY !

Vous avez eu connaissance sans doute de la demande de Madame la Ministre Dati à l’apparatchik  Oudart, ex-délégué aux Arts Plastiques du Ministère,  de lui faire un rapport sur le très mauvais état des Ecoles des Beaux-Arts publics, dont une dizaine sont menacées de fermeture. Monsieur Oudart s’est donc fendu d’un rapport à noyer tous les poissons, et à nier toutes les réalités encombrantes, dont celle, connue de tous, qu’il y a de moins en moins de jeunes candidats pour entrer dans ces écoles,, parce que ce sont des lieux  psychogènes de décervelage conceptuel et de déconstruction du sens commun et de toutes les règles esthétiques.

Monsieur Marc Vérat s’est donc fendu d’un contre-rapport, dont je vous joins le lien d’accès, qu’il a adressé à Mame Dati, qui lui en a accusé réception par son chef de cabinet.

Mame Dati, aura-t-elle lu le rapport Vérat ? ou bein en aura-t-elle été « protégée » ? That is the question.

Affaire à suivre donc …mais en attendant, lisez ce contre-rapport plutôt jouissif…et partagez-le.

Le rapport Vérat :

https://avec-les-felicitations.blogspot.com/2024/02/monsieur-pierre-oudart-remis-madame.html

Oudart avec consoles d’art contemporain
Deux puissants apparatchiks de l’art d’Etat : Jean Carelet de Loisy d’arcelot
et Pierre OUdart

1 thought on “LE CONTRE- RAPPORT VÉRAT FACE AU  RAPPORT OUDART…AVEC FÉLICITATIONS DU JURY !”

  1. Le jeudi 27 juin 2024 à 18:11:32 UTC+2, Marc VERAT a écrit :

    La fin du « contemporain » demeure inéluctable, c’est dans l’ordre de l’histoire de l’art. Il faut nécessairement passer à autre chose. Reste à connaître le sort des adeptes officiels et de leurs créations ? Le temps de l’oubli peut parfois devenir éternel.
    La France, avec quelques décalages, ne fait que répéter depuis des décennies ce qui se produit outre-Atlantique et pas seulement en Art.
    La césure des élections peut devenir un tremplin pour un radical changement avec, en prime, de nécessaires économies afin de financer bien des promesses.

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