Le festival 2024 s’est ouvert avec un traditionnel spectacle de routine avant-gardiste subventionnée, populaire sans peuple, mais applaudi par le bobo maso-culturel ou théâtral, militant engagé bébête, et qui croit être monté au sommet de l’art dit contemporain quand il s’est abreuvé de fadaises pendant deux heures.
Sempiternelle « apoilisation » à la mode soirée des César
Cette année, il s’agissait du spectacle d’une metteuse en scène espagnole européenne, performeuse, auteure, comédienne, éveilleuse des consciences, émotionifère et provocatrice, Angélica Liddell, connue pour des spectacles qui dérangent (qui ? On ne sait pas). Angélica propose un spectacle intitulé Dämon, en espagnol, français, suédois, surtitré en français, et proclame partout que « l’art n’a pas de limites ». Jean-Pierre Palaez
Plus d’info ici :