Y a l’œuvre d’abord, parfaitement bidulaire, avec l’artiste plasticien Joan Sorin en pleine performance à l’intérieur semble-t-il , entrain de casser les codes de l’esthétique bourgeoise, interroger on ne sait trop quoi, hurler au retour de la bête immonde
Cette expo, « chronique de l’oubli », se passe au 40 m3, lieu d’art contemporain déclaré d’intérêt national à Rennes, jusqu’eb septembre 2024
Y a un public , plutôt réduit, qui semble atterré par ce qu’il voit…mais qui a l’obligation professionnelle d’assister à cette grotesquerie.
Au vu des différents looks, on peut présumer qu’il s’agit d’élèves et de profs de l’école de National Beaux-Arts locale…Avec quelque adjoint aux affaires culturelles ou conseiller artistique de la DRAC, Avec quelques cultureux middle-class de proximité en recherche de distinction sociale …ou de plans -cul (pas de politique semlble-t-il)
Terrifiant théatre de la cruauté mentale subventionnée…
Question : ça va durer encore longtemps toutes ces grotesqueries en milieu institutionnel ?

J’aime bien l’attitude du gars à la chemise 3ème en partant de la gauche ,les deux mains sur les hanches , affichant une mimique du genre « mais il on se fiche de qui ici, c’est n’importe quoi ! »
Une baffe sur la figure. Illustration de la décadence.