BUREN, MOSSET, TORONI : UNE PLAISANTERIE BIENTÔT SOIXANTENAIRE

Ce que proposaient , dans les années 70, ces trois « casseurs de codes bourgeois » , apparaissait alors comme une aimable potacherie intello-posturo- déconstrictive sans aucune dangerosité ni durabilité ….

Mais cela  fait 60 ans que cela dure et que la plaisanterie  est dévenue la référence structurante centrale dans l’écosystême d’ un art dit contemporain, qui  va , lui aussi,  fêter ses 60 balais…

La plaisanterie initiale , s’est donc muée entre temps  en cette gigantesque escroquerie en bande organisée qu’est devenu l’art « contemporain ».

«Il y a des idées tellement absurdes que seuls les intellectuels peuvent y croire » disait Georges Orwell… Ce qui se traduit aujourd’hui «  il existe  une idéologie esthétique tellement inepte, perverse et malhonnête que seuls les intellectuels – de la gauche progessiste bureauacratico-fianacière évidemment  – sont encore obligés de  faire  semblant d’y croire »…et peuvent produire des textes d’un grotesque aussi ahurissant que celui-ci :

« L’œuvre  d’Olivier Mosset donne la mesure de la radicalité théorique et esthétique d’une peinture qui se déploie aux extrémités de la peinture. En un point où la théorie et la pratique fusionnent, où l’absolue platitude substitue aux représentations la densité de réflexions sur la peinture, l’acte de peindre, et les conditions réelles de production et de diffusion. En un point où la froide géométrie est génératrice de sensations.

Olivier Mosset a su trouver une fécondité esthétique et picturale dans la haute exigence théorique et rationnelle ».Ben voyons Ginette !

Cet « art de l’extrême » , malgré sa pitoyable vacuité artistique et humaine, » (voir l’image jointe de Buren auprès de son oeuvre la plus aboutie) conserve encore sa crédibilité,  son pouvoir de terrorisme intellectuel et sa cote sur le marché spéculatif de l’inepte, grâce à cette sorte de cordon sanitaire ou barrage républicain qui le protège lui aussi des hordes de ploucs anti- art contemporain, réacs cathos-fachos haineux et nauséaabonds manipulés par l’extrême-drouate, comme ceux qui ont dégonflé le plug anal des joailliers de la Place Vendôme.

Au-delà du soutien du soutien des acteurs toujours en place du gauchisme culturel du camp  du bien du beau du bon et du vrai, qui l’a généré, cet « art de l’extrême » doit aussi son   inexpugnabilité à la lâcheté des politiques, des critiques d’art et  des responsables culturels divers , qui ont bien trop peur de se faire traiter de fachos nauséabonds s’ils osent émettre quelque réserve sur la dictature de cet art de l’absurde conceptualo bidulaire perfusé à l’argent public.

On ne sait pas combien de temps encore ce totalitarisme de l’inepte  va fonctionner.

Un grossier personnage nommé Trump vient d’apparaïtre  outre-atlatique, qui n’a, certes, ni la subtilité intellectuelle, ni la distinction langagiére des progressistes de notre burenistain hexagonal, mais dont , paradoxalement , il est permis d’espérer l’effet salutaire en France, pour ce qui est  du nettoyage des écuries de la bureaucartie artistico-cultuelle qui a produit les Bure, Toroni, Mosset et autres milliers plasticiens du même acabit bourrant les collections publiques.

1 thought on “BUREN, MOSSET, TORONI : UNE PLAISANTERIE BIENTÔT SOIXANTENAIRE”

  1. Ces gens sont, certes, des charlatans. Mais n’est-ce pas génial d’arriver à faire autant d’argent avec des productions aussi vides et ineptes ? Bien sûr, pour admirer cela, il faut cultiver une certaine révérence pour l’argent, qui est la seule justification de ces puérilités. Je note l’air triste, compassé et constipé de ces « artistes » : il ne faudrait tout de même pas qu’on les surprenne en train de se marrer. Il y aurait pourtant de quoi : se faire prendre au sérieux avec pareilles foutaises, c’est quand même un exploit qui mériterait que l’on se tapât sur les cuisses. La chiance est leur art de vivre, la terreur artistique qu’ils véhiculent ne saurait s’accommoder du bonheur. On vous prend pour des ânes, on vous ennuie à mourir, mais ça va vous coûter un maximum.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *