Je trouve très étrange que le problème pourtant gigantesque posé par l’art dit contemporain, comme vecteur d’une idéologie politique de type sociétalo-questionnatoire , déconstructo-progressiste , et surtout comme crétin utile du grand capital, ne soit pas abordé dans aucun des fougueux débats agrémentant ces élections législatives.
Quelle est la nature de cette étonnante omerta , la raison de ce tabou ?
Est-ce l’énormité – même de l’imposture ou de l’ineptie, qui apeure, sidère, tétanise et rend mutique tout les ténors politiques?
Qu’est-ce qui empêche le très intelligent gauchisme culturel de comprendre pourquoi et comment il est retourné et instrumentalisé par le « grand capital » ?
Qu’est-ce qui empêche la gauche, qu’elle soit flaccide ou turgescente, de se rendre compte qu’elle est la cocue de l’affaire ?
Qu’est-ce qui l’ empêche de comprendre que cet art « contemporain » qu’elle a produit, est essentiellement un art de classe, un outil de pouvoir intello-financier, qu’elle devrait être la première à combattre ?
Qu’est qui fait que la droite nationale ne veuille pas s’emparer pas de ce sujet dont le grotesque avéré devrait être pain béni pour elle pour discréditer le délire gaucho- conceptualo-woko- déconstructif de l’AC , et pour saisir cette occasion d’en finir avec la suprématie cinquantenaire, morale et culturelle de la gauche ?
Qu’est-ce qui fait que personne ou presque, quelque soit ses opinions politiques , ne s’aperçoive que cet art « contemporain » est un art sans art, consubstantiellement vide de sens , de sensualité, de poésie, d’humanité, pour être mieux bourré d’une bouillie idéologique confuse et des plus vomitives , dangereusement toxique pour le sens commun. ?
Il faudrait en urgence démonter les mécanismes d’aveuglement qui nous empêchent de reconnaître le grotesque et l’inhumanité que les images jointes montrent pourtant clairement.

et le grand capital