
Le Palais de Tokyo (Paltoc pour les intimes) possède lui aussi , comme les FRAC et les MAC, une association d’amis qui le soutient en cas de déprime.
Ces « associations d’amis » sont des tribus improbables ou groupes de personnes en quête de signes d’appartenance à quelque élite socio-culturelle. Leur typologie psycho sociétale sera un intéressant sujet d’études dès qu’une vraie sociologie de l’art pourra être permise.
Cette Association des Amis du Palais de Tokyo va décerne son Prix 2025 à un.e artiste de la scène émergente française,
Le but de ce Prix étant d’aller à la rencontre et de mettre en avant des artistes de la scène. Française pour les faire émerger à l’international , ainsi que pour « renforcer le rôle du Paltok,tel que le préconise le rapport Bethenod : https://lagazettedenicole.art/martin-bethenod-leminence-grise-de-lart-contemporain-a-produit-un-rapport-sur-la-facon-de-renforcer-limage-de-lart-francais-a-linternational/
Notons que ce renforcement du rôle du Paltok sera repoussé puisque des travaux de réparations d’infiltrations doivent être engagés fin 2025 pour un an et pour un coût de 45 millions d’euros.
Notons que le jury est constitué d’éminentes personnalités du monde des arts et de la culture, telles que Grégory Lang, commissaire indépendant, Emma Lavigne, présidente du Palais de Tokyo, Emmanuelle Lequeux, journaliste pigiste du Monde, Alexandra Schillinger, directrice de la financial-galerie Loevenbruck, et Emmanuel Van der Meulen, artiste diplômé des Beaux-Arts de Paris avec félicitations du Jury.
Cette année les quatre nominés ( images jointes) sont : Réda Boussella, Léa de Cacqueray, Céleste Richard-Zimmermann et Chloé VanderstraetenLe lauréat bénéficiera d’une exposition au Palais de Tokyo à l’automne 2026, confiée à la commissaire Horya Makhlouf. Chacun des finalistes recevra une dotation de 2 000 euros…amplement méritée.


