
C’est la question que devront se poser ensemble critique, historiens, sociologues, psychologues, philosophes de l’art, dès que le mur de déni de réalité sera tombé, dés que le cordon sanitaire de la bien – pensance artistico-maso-progressiste sera levé.
L’art, pour être certifié « contemporain » se doit en effet de casser les codes, d’interroger, d’interpeler, de provoquer, de déranger, de disrupter, de subvertir, de blesser, de faire mal aux yeux et à la tête , de posséder toujours une charge de violence symbolique, de tordre le sens commun, de terroriser le bon peuple, bref, de traumatiser celui-ci pour le faire accéder à un niveau supérieur de conscience, qui lui ouvrira le chemin de la liberté créative… et des lendemains qui chantent.
Je vous joins quelques images de ce trauma-art rédempteur et libérateur.


