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Commentaires, qui abondent dans mon sens et sont assortis pour beaucoup de témoignages éloquents, comme vous pouvez le voir… avec seulement 4 ou 5 pour me traiter de ringarde nazie, ou d’ « andouille facho » comme le fait une certaine Dominique Cerf, diplômée d’art-thérapie à l’ENSAD  de Bouges et qui a écrit cette petite friandise : « Esterolle c’ est une andouille facho qui sévit depuis fort longtemps et nous saoule..Il faudrait surtout qu’ elle se la ferme !!elle est juste bonne pour ramener la haine et la bêtise. »

Les commentaires :

Certes, il y a une centaine d’années Marcel Duchamp nous avait fait une belle blague de 4’z’arts avec ses Ready made. Mais depuis, rien de nouveau!

Les imposteurs faineants, pseudo artistes se sont engouffrés dans pantalonnade pour bénéficier du prestige et de leurs subsides à moindre efforts intellectuels et artistiques. Doublé par le Marché de l’art international qui a trouvé là une aubaine pour s’enrichir rapidement. Ils nous collent comme des sparadraps et nous étouffent. À quand leur disparition?

Non.. couper certains budgets..

C’est le pied !!! 

heureusement que ce n’est pas le reflet de la société

Ça, au moins, les voleurs du Louvre ni toucheront pas

C’est un scandÂle !

On voyait déjà ça il y a plus de 40 ans ! C’est du réchauffé ! 

putainnnn y a encore l’okapi qui a renversé la litière des castors!!!!

Tout ça pour ça…

On oublie trop souvent, depuis quelques années, que l’art plastique fait partie des arts visuels. Donner à penser, c’est bien, mais donner à voir, c’est pas mal non plus. Quand ce que vous voyez, ne retient que très peu l’attention, la réflexion de l’artiste ne suffit pas pour compenser. À force de ringardiser le « savoir faire », on aboutit à un art désincarné … avec une grosse tête (parfois), mais sans corps. On a trop abusé du terme « académique » pour justifier le rejet de la technique… dommage. Mais peut être que tout n’est pas joué…

 Grosse m….

 Est ce que les artistes ont des moyens d’agir contre ces escrocs ,

Il y a une vingtaine d’années, j’avais ete invité pour trois mois à enseigner aux beaux-arts de Toulouse, la situation étant similaire à celle d’aujourd’hui avec moins d’IA… Que me demandaient les étudiants de dernière année ? De leur apprendre à dessiner! Donc j’imagine que d’ici quelques années il y aura un mouvement pour un retour aux fondamentaux avec l’IN : Intelligence Naturelle !

J’en ai longtemps fais un complexe, mais vraiment heureuse d’être Autodidacte!

Bravo pour ce message courageux et sincère (tout ce que l’on aime pas aux Boz’) étant un ancien étudiant des Boz’ de Bdx j’assure que tout cela est vrai, et que j’étais comme toi, en décalage et en souffrance. Pour m’en sortir, j’ai fait pleins de stages (que l’on ne me conseillait pas du tout) pour découvrir d’autres milieux et utiliser l’art pour faire plaisir aux autres, j’ai découvert l’art thérapie et j’ai enchaîné par ce genre d’études. Je suis devenu art-thérapeute.

Aussi dans ce secteur la France est à la ramasse… Dans d’autres pays, États Unis, Italie, Espagne et autres, depuis quelques années déjà il y a des très sérieuses écoles d’art qui apprennent à leurs étudiants les bases du métier dans le respect et la continuité de l’art d’avant le séisme « moderne » et surtout « contemporain ». Le réveil de l’art français, c’est pour quand ?

oui, effectivement, j’étais aux beaux-arts, quand tout a basculé, on nous demandait de faire des « merdes », on faisait et puis après on s’en amusait et on faisait notre art…chez nous…l’art intello était arrivé aux beaux-arts. il y a de cela très longtemps, on pouvait faire n’importe quelle merde à partir du moment ou on l’enrobait d’un concept intello digne d’un bac + 10, nous étions glorifiés par les profs. pour les sensibles, ben, ils n’avaient plus leur place dans l’art…tout simplement.

I agree, surtout au vu d’obtenir un diplôme ça y est je l’ai dit plỗm

c’est devenu totalement incompréhensible, capillotracté, auto-hermètique , inutilement questionnifiant et burlesquement aberrant obéré

Le pauvre doit avoir l esprit dérangé. Ses parents ne lui ont pas appris à nettoyer et ranger sa chambre! Et oui soit il faut fermer ces écoles à l’enseignement inepte ou changer le corps enseignant 

Il suffit d’aller en Belgique. Ex : St Luc. Là, on vous apprend a dessiner, a transpirer.

Quelle crotte que de glorifier l’art du vide conceptuel.

Combien ça coûte-t-il aux français de financer cette daube d’intellectuels phraseurs ?

‘est pour de vrai ou pour de faux ? 

Pas étonnant, moi qui fréquente un peu le milieu. C’est limite de la prostitution. Si tu as une éthique, t’es fini.

Au secours !

L’affaire est grave et remonte plus haut que quarante années mais bizarrement, elle s’est complètement incrustée et figée

a l’inverse complet de ce qu’elle

prônait et ne survit que sous perfusion ministèrielle.

Pendant ce temps le marché de l’art navigue au grand hasard sans lunettes ni boussole, un coup à gauche, un coup à droite, tout est beau s’il vaut cher.

C’est râpé comme référence !

moi je pense qu’ensemble on pourrait créer un salon pour mettre tout cet art on l’appellerait le salon d’art dégénéré. Je vous propose aussi qu’on y fasse une performance dans laquelle on brûlerait des livres. J’ai un ami qui pourrait présider la foire, c’est un américain, il se met de la peinture orange sur le visage et il fait des performances ou il s’amuse à attraper des gens avec ses amis qui portent des masques. J’avais penser à un autre ami pour le jury mais il est en prison. Vous en pensez quoi ?

reflet d’une société en perdition. Pour apprendre à dessiner, il faut aller à l’Est ou en Russie.

Superbe magnifique magique, J adore , Je vais qu toilettes

Il manque les écrans où se succèdent des images qui interrogent le regardant ou le rapport entre l’œuvre et son public… 

Je ne suis ni historienne de l’art, ni même artiste, pas même critique. Les discours « blabla » dès les années 70 ont réussi à m’éloigner du « Monde de l’Art » et comme il me fallait bien bouffer tous les jours, n’ayant pas grand nom ni gros moyens ni belles relations, il m’était facile d’accepter mon manque de talent/génie voire même mon peu de choses à dire. Je suis donc une personne lambda (certes lambda +++) ouverte, avec des yeux, des ressentis. Cette sensibilité m’a quand même conduit à construire ma vie pro autour de ce monde étrange. Quand je vois une telle oeuvre, je ne vomis même pas (je devrais peut-être, là, je serais interpelée). Je me dis juste que… c’est une démarche, c’est une esquisse, un début, qu’il reste du boulot pour le moins, du talent/génie à faire peut-être un jour étinceler.

J ai fait du modele vivant aux beaux arts ik y a 10 ans…quand mon dessin etait bon et proportionne et figuratif on me disait que c etait mauvais..de la m…. quand je faisais n porte quoi c etait ah enfin quelque chose d interessant…a part 2 3 exception aucun des jeunes eleves ne savait dessiner..et on ne leur apprenait pas

Mais c’est de l’art contemporain  j’ai reçu au Musée des élèves des beaux-arts qui n’avaient même pas étudié l’histoire de l’art et ses différents courants.

Une insulte à l’intelligence humaine

Merci de souligner cette dérive. Et quelle tristesse de voir des écoles payées avec l’argent du contribuable, d’où devraient sortir des gens qui font rayonner la France, ne même pas être capables de donner les clés techniques aux étudiants pour être en mesure d’exprimer des talents.

Quelle mediocratistion. Vite, un grand ménage.

Feraient mieux d’aller ratisser le sable des plages polluées au mazout et détritus, çà serait plus utile à la société

Pas mal !!! J’aurais ajouter une banane dans la chaussure…..

Même pas énervé mais je veux un Doliprane . Mdr

Depuis que le fric remplace les diplômes, nos écoles ne sont peuplées que d’Héritiers hors sol en fin de cycle!

Le jury est très bon !

 Défendre la culture donc les écoles d’art ! !

Autrement, c’est l’ALIENATION garanti qui nous menace.

C’est de la conceptualisation non 

Beaux arts pour moi aussi et ce que tu racontes me parle tellement. Ne pas fermer les écoles d’art, mais rétablir un vrai enseignement artistique et une vraie ouverture d’esprit. J’ai trouvé les profs pédants et castrateurs, moqueurs et malsains. Une énorme déception et de la colère de laisser ce genre d’enseignants former des jeunes.

Lamentable ! Des économies à faire par le Ministère de la Culture, qui ne feront pleurer personne de sensé en France ! Pauvres étudiants manipulés par des crânes vides, qui perdent leur temps ! Supprimer ces soi-disant « formations », c’est les protéger !!!

comment les musees se transforment peu à peu en decharges et dechetteries ,charges d’ agrégats de materiaux informes …il faudra payer d’ici peu le public pour visiter ces lieux qui nous coutent une fortune à entretenir ..on pourra faire l economie de la securité car les risques de vol y sont minimes

Ce n’est pas nouveau , lors d’une visite au Palais de Tokyo ,il y a quarante ans , le conservateur avait investit dans deux œuvres ,une un gyrophare clignotant dans un cadi de supermarché au milieu d’une pièce vide …… et la deuxième une pièce remplie d’annuaires pages jaunes . Heureusement qu’il y a deux mondes parallèles dans le monde de l’Art , certaines galeries qui ont la connaissance et l’œil pour découvrir les futurs génies et celui de l’état et des musée ….. Grace à des galerie comme Maeght on a pu découvrir les grands comme Picasso, Giacometti , Soulages …….et sur plusieurs générations .

Les écoles nationales supérieures d’art, de gros moyens et budgets pour une poignée d’élèves. Je me suis toujours posé la question : une fois qu’ils sortent diplômés au bout de 5 ans d’études, ils font quoi ?

Ayant une fois parlé avec un groupe d’enseignants à l’école des Beaux-Arts, j’ai demandé s’il existait une section peinture ou une section dessin. Ouppps, que n’avais-je demandé ? « Monsieur, on ne fait plus ça ici ». Ah…

Lorsque les créateurs deviennent des penseurs politiques ,ils perdent leur génie que souvent ils n’ont pas !

Le monde de l’art est un reflet de la société! L’interdire serait une castration de l’opinion publique! 1984 est tjrs d’actualité…

Que de la haine de votre part et des commentateurs de votre post. De la haine, de la jalousie, de l’ignorance, ce n’est pas reluisant tout ça, et en plus cela sent mauvais le réactionnaire. Mince alors, pourquoi tant d’acrimonie ? Je crains avoir la réponse…

Vous êtes un réactionnaire

Je suis scandalisé et révolté par tant de violence face aux jeunes qui essayent de devenir artiste. Votre combat c’est de fermer les écoles d’art ? C’est d’une tristesse et d’une violence sans nom pour traiter les choses que vous ne comprenez pas ou qui ne sont pas a votre gout. ( et c’est votre droit ) Respectez un peu ceux et celles qui, certes comme vous le dites, ne seront pas forcément artistes … et Alors ? Les écoles d’art forment des gens dont certains sont médiateurs culturels, enseignants, politiciens, militants, chercheurs, conférencier, animateurs … Vous devriez sortir de chez vous, et rencontrer les jeunes artistes. Certains d’entre eux sont plein de talent, de créativité, et on des choses sublimes a proposer au monde. Bref, je suis choqué devant un tel discours réactionnaire et conservateur.

On a déjà entendu ce discours, voyons … fin des années 30 et début 40

Vous êtes en train de nous refaire le coup de l’art dégénéré. Révisez vos classiques et allez voir comment ça s’est terminé la dernière fois.

La jeune génération est prometteuse et applique bien les principes appris à l’école.

Mais pourquoi tant de haine ?!

N importe quoi !!!

Incroyable !!!!

J’adore ce témoignage. J’ai tenté le concours d’entrée aux beaux-arts de bordeaux en 1991, c’était une grande salle avec 400 candidats, une épreuve de 4 h suivie d’un passage devant un jury blasé qui m’a reçu d’une manière que je n’oublierai jamais. Au fur et à mesure que je sortais des dessins de mon carton, ils faisaient tout leur possible pour me montrer leur désintérêt, ils chahutaient, réclamaient du café en criant, faisaient des private jokes, jusqu’à me demander de ranger tout ça et de leur parler de choses conceptuelles qui m’auraient marqué, histoire d’avoir enfin un truc intéressant à faire avec moi. Ils m’ont rendu un fier service même si c’était cuisant sur le moment, car je ne regrette pas d’avoir tout appris par moi-même

Tant qu’il y aura des cons pour acheter ces merdes, ils auraient tord de s’en priver… les cons fabriquent les cons .

Encore un lieu ou les égaux font la loi .

Pitoyable plus aucune notion de l’art en temps que telle. C’est sur qu’il faudrait y remettre de l’ordre. Je me reconnais pas avec l’art contemporain, à quelques rares exceptions qui se comptes sur les doigts de la main.

Le michel- Ange du XXle siécle

l art conceptuel ! mais qui sera bientôt remplacé par l IA ….

Avis contestataire et conservateur.

 Vos propos sont honteux ! Que vous ne compreniez pas ce que font les jeunes artistes, c’est une chose mais votre mépris des écoles d’art… les vieilles générations ont toujours rejeté l’art de leur époque et aujourd’hui, ces pratiques artistiques sont vantées par quasi tout le monde. Cessez de vouloir fermer des écoles publiques qui permettent à tous les publics, quelque soient leurs origines de pouvoir accéder à un enseignement de qualité et que certain.e.s étudiant.e.s se soient senti.e.s exclu.e.s, c’est juste qu’ils et elles ne sont pas fait.e.s pour être artiste.s. Il faut l’accepter. Vos propos sont honteux.

Esterolle c’ est une andouille facho qui sévit depuis fort longtemps et nous saoule..Il faudrait surtout qu’ elle se la ferme !!elle est juste bonne pour ramener la haine et la bêtise.

Si ca c’est de l’art alors je suis super diplômée 

Vous êtes une néo-fachiste ! C’est surtout une honte d’écrire aussi mal, avec autant d’arrogance (et de payer pour qu’on se retrouve avec cet article sur notre mur FB! ) Le vocabulaire est caricatural et le propos bien réactionnaire version néo-fascisme. Next.

La seule chose intéressante est le témoignage de cette jeune étudiante qui malheureusement reflète ce qu’il se passe dans ces écoles au même titre que le fonctionnement d’autres milieux, voire de la société entière. Donc utiliser à des fins réactionnaires ce témoignage important (surtout au moment du #meetoo art) est assez dégueulasse et aussi sale que l’oeuvre qui illustre votre article. Mais peut-être que cette œuvre parle de gens comme vous, qui utilisent le système pour générer de la haine?

En tous cas, la référence implicite à l’art dégénéré des nazis ne vous honore pas.

Vous n’avez pas plus de choses à dire que celles et ceux que vous critiquez apparemment donc -> next.

Je fais du vide pour accueillir les vraies critiques constructives.

Êtes-vous artiste ? Ou bien historienne de l’art ? Juste par curiosité.

De la pure M…E

C’est exactement ça ! Dire que les Beaux-Arts sont les héritières des écoles (municipales) gratuites de dessin du XIXe… L’eau a coulé sous les ponts (ou croupi peut-être)…

Ça va avec tout le reste

Tout est inversé

Beaucoup de haine pour soi disant si peu de chose

En fait cela s’appelle une œuvre transgressive ou une démarche artistique

Le « concept » artisticocapitaliste a toujours eté un enfumage idéologique prônant l’art pour tous au nom de la coercition de l’ailleurs, notion dangereuse en ce qu’elle a de libre. L’argent a une faculté de négation contemporaine proprement mortifère. La laideur est un instrument de domination de l’enfant roi. Il accule à l’indignité de soi, à son humiliation, à sa soumission. Lire « Ce qui n’a pas de prix », de notre regrettée Annie Lebrun.

Tout change… j’ai le souvenir d’une bonne ambiance dans mon école…on se croyait pas sortis de la cuisse de Jupiter….on apprenait….

Ça se vend combien je dois pouvoir faire une copie

C’est une blague ???

C’est simple : personne ne doit être forcé de faire quoique ce soit lorsqu’on parle de processus créatif… Chacun et chacune doit pouvoir faire l’art qu’il ou elle souhaite, sans devoir entrer dans un schéma précis, comme c’était le cas avant la seconde guerre mondiale et avant les expositions d’art dégénéré (voir ma vidéo ci-dessous à ce propos). Par contre personne ne devrait devoir mettre la main au portefeuille pour tel ou tel projet artistique sans qu’on ne lui demande s’il ou elle est d’accord de le faire, car l’art doit rester libre, et une des composantes essentielles de sa liberté est son indépendance financière… L’art doit être financé sur base volontaire, sans quoi on retombe dans les travers de l’art étatique, qui sert la cause de l’État, qu’il soit de droite ou de gauche, et ça c’est souvent puant, comme l’Histoire nous l’a montré à de nombreuses reprises. J’en profite pour glisser ici une réflexion qui va remettre l’Église au milieu du village… Non, faire de l’art ce n’est pas nécessairement faire du joli, mais ce n’est pas nécessairement non plus faire obligatoirement du politique, de l’engagé, du philosophique. Le spectre des possibles est grand, et l’essentiel est, selon moi, que chacun (artiste comme public) y trouve son compte… Ceux et celles qui veulent prendre du plaisir en créant, très bien. Ceux et celles qui s’engagent dans un parcours qui fait mal, qui génère de la souffrance et qui oblige à se pencher sur la misère du monde, très bien aussi. Mais que l’art garde son indépendance, c’est essentiel. Il serait malsain d’organiser le financement de l’art, car ça le politiserait et entacherait la démarche artistique. Les mécènes privés existent, il est possible de les rencontrer. Ici, dans cette vidéo (ci-dessous) je rappelle que dans les écoles d’art il est un devoir d’Histoire d’expliquer aux jeunes que faire de l’art ce n’est pas nécessairement faire du beau, de l’académique. Dans le même temps je rappelle qu’il faut prendre garde à ne pas condamner ceux qui veulent faire du beau, car les deux démarches peuvent exister, elles peuvent participer à faire de ce monde un monde davantage juste et agréable… https://youtu.be/YY2Ujdid014?si=qkPMeAfvCAXN-Yf9

Il y a eu des tableaux de rectangles les uns à côté des autres qui se sont vendus à prix d’or il y a très longtemps alors plus rien ne m’étonne. Et quand j’ai dit que je pouvais faire pareil je me suis attiré les foudres des connaissseurs/ amateurs d’art

Jalouse…

Une marionnette des rouages de cette machine en carton affirme avec la bienveillance souriante du marchand de tapis ikea que vos publications et votre encouragement à nettoyer les microbes à deux pattes et le pinceau dans la troisième patte sont le signe annonciateur de la descente aux enfers de la désillusion politique et artistique, cette même marionnette entrepreneuse de bonne foi saute rapidement sur le sujet suivant pour nager dans le sentiment océanique des colporteurs de bons sentiments pour éveiller nos braves soldats du moch’art et continuer à confondre l’effort où le paon y laisse toutes ses plumes avant même d’avoir achevé la rotation de sa sublime roue avec l’effort du paon en plein laisser aller, heureux de trainer les boulets gonflables attachés à sa cheville en les nommant « mes monstrueux cailloux de sysiphe ». Alors dans cette ambiance caverneuse désormais je veux entendre les artistes voler, surtout ceux dotés du caractère de l’angélisme du monde des idiots à dix mille lieux de l’idéalisme des autres idiots à qui il reste encore un peu de bon sens pour mourir les yeux ouverts.

Triste vérité, c’est ce qui restera peut-être de l humanité après le point de bascule.

discours typique des réactionnaires et droitistes qui veulent de l’art joli et bien-séant.

Lamentable retour de l’ordre moral qui déglingue la créativité et la sensibilité d’un monde en péril

école d’art ?

Concernant les diplômes en école d’art comme à l’ENA il y a des diplômés mauvais qui ne ferons que de la m

Les propos me paraissent déplorables. C’est a eux de faire leur chemin, et vous en avez peur. L’intelligence ne se remarque pas dans le chemin tout tracé des parents, mais bien dans la capacité à faire sa propre route. Je leur offre ce poeme tout frais de cette nuit (il y a du y avoir un appel d’air nouveau). Et vous donnerai les clefs si vous en sentez la nécessité.

Le Bambin Cosmicologue et l’Équation du Chaos

(Version mutante, lexiquement détraquée et apothéose finale)

Le bambin n’est pas un calcul, il est un jaillissoir de lumière,

un TGV qui s’éclair-vite sur des rails en mousse de premier hiver.

L’équation à une inconnue ? Non, une rubanerie de Möbius,

où la solution s’autocasse en problème, un paradoxe qui frise et qui ricane.

Ses cahiers d’écolier s’étoilent, déchirures stellaires

où Thalès gribouille des licornes dévociférantes.

Il prépare son avenir en légotant des secondes,

empilant le temps jusqu’à ce que le ciel s’éclaffe de rire.

La vie future, il la tenait un peu, comme on tient une méduse qui mucusse trop.

Elle palpite, phosphore et renifle des étincelles de glu.

Dans un vieux pot de confiture (c’est bon la confiture !) il la gardait,

branchée sur un fil d’Ariane en réglisse fatiguée.

Chaque matin, sa brosse à dents orchestrifie le chaos,

batonnant la symphonie des possibles pas droits.

Les notes s’entrechoquent, la mousse des rêves bat la mesure du désordre.

Il dessinait une maison qui se redormait d’elle-même,

non pas un toit, mais un crâne de dieu à papillons suicidaires.

La maîtresse, elle, orthographise ; lui, il dyslexise les galaxies,

transforme les mots en sabres-lasers bancaux qui fendillent l’ennui.

Pas besoin de plan de carrière — ces carcans de velours à l’usage des obéissants.

LUI ! Il désobeïse avec délectation,

comme on croque dans un orage ou qu’on renverse un alphabet.

Son projet ? Être un dérèglement statistique,

un trou-noir qui bugue dans la banque des destins alignés.

Peut-être cueillera-t-il des nuages, peut-être déménagera-t-il des mirages,

ou enseignera le silence à l’université rampante des escargots.

Son cœur, une pendhulule de Salvador Dalí, fondue, dégouline de secondes lentes,ralentit quand on parle d’argent, s’affole pour les cailloux parlants.

Il algébrise le monde en démontant l’armoire,

chaque cheveu en tempête devient variable libre du chaos intérieur.

Ô tendre tyran de l’absurde, ô dictateur du peut-être mais pas sûr !

Les monstres sous le lit, consultants en rêves,

lui remettent des rapports nocturnes signés de griffes floues.

L’avenir ? Un tremplin rouillassé qu’il sautera yeux fermés, à cloche-rêve,

par respect pour l’imprévu majuscule.

Sa loi : le saut, l’élan, la chute en beauté non prévue.

Sa règle : une girouette ivre qui désordre le nord.

Le monde adulte, lessive des couleurs, plus gris que grises : il refuse l’essorage du devoir-être.

Il garde ses teintes primaires, ses bonbonbes de peinture du vrai,

pour fluoter-repeindre la ligne droite des raisonnables.

Poing serré, il brandit la clé du non-sens magnifique,

écoute en apnée la serrure respirer , comprend que tout s’ouvre de travers, surtout verticalement.

L’existence, gâteau d’anniversaire explosif — il réclame la part à bougie folle,

celle qui brûle en riant à l’envers.

Le dernier anarchiste de la cour de récré des constellations,

il sait que le futur est une farce tendre dont il est le punchline en apesanteur.

Et l’équation ?

Elle s’autogribouille dans la poussière :

X=Jem’enfoustendrementX=Jem’enfoustendrement

— et la craie crépite, encore vivante, sous la main du cosmos qui bafouille.

Mais Moi, je sais déjà qu’il deviendra POÈTE !

 Quand le « foutage de gueules » est diplômé !

Le street-art n’est pas folichon non plus : un docu passé récemment sur une nana à la Réunion : des endroits qu’on lui avait interdits, des agressions et verbales et physiques. (même son de cloche dans une conférence il y a dix ans)

S’il y a des gens qui aiment, pourquoi interdire ? Les gens ont le droit de créer ce qu’ils veulent ou d’aimer autre chose que nous. On n’est pas en dictature non plus….

Je suppose que cette dame, Nicole Esterolle, n’a pas ensuite suivi une carrière artistique et que cela l’a conduit à beaucoup de ressentiment. J’ai 73 ans, je vais chaque année à la biennale de Venise et à celle de Lyon. Il y a des choses qui me plaisent, d’autres qui m’ennuient …mais chaque année depuis très longtemps il y a au moins une oeuvre qui me bouleverse et qui change le cours de ma vie pendant quelques jours. Après, poster une image moche, sans aucun texte en pâture et parler d’art dégénéré, cela n’est pas tout neuf et à conduit à…des choses pas très reluisantes. 2026 sera une année de Biennales, alors allez-y, ouvrez votre champ des possible et émerveillez vous !

l’art contemporain est mourant… il ne s’est pas renouvelé et nous voyons dans le meilleur des cas des choses (!) mille fois vues .

Il faut fermer ce genre d’école d’art, dans ce cas là moi aussi je suis artiste 

Courtoisement vôtre…

Sait- il peindre ce garçon au moins ????

Après la mort de la caillasse naturelle effritable la mort de l’histoire de l’art dans la mort du crayon plumé par la mort des outils récupérés par l’étalement de toutes ces morts sans avoir penser un seul instant à la fin et à voir ces images ils semblent écrire avec la chair des morts, une chair transposée récupérée et piochée dans la matière de la consommation sans avoir entraperçu la mort que ces vieux vivants vivaient dans une époque qu’ils font semblant de comprendre pour s’attirer le feu fondu de la séduction liquide des langues perdues et paumées et malgré tout et malheureusement convaincue de tenir le baton de la victoire pour devenir éternel pendant un quart d’heure et cette fausse note descendue du ciel avec les yeux louchant l’éveil ils ont parcouru la pauvre distance des pays riches où les grumeaux ressemblent à des éclatements de victoire éphèmère avec la trace victorieuse d’un coup de crayon aussi maigre que les 25 kilos d’un prisonnier d’un camp de concentration

Au secours !

ca s’trouve ca s’fume… 

Moi j’aime bien! Un commentaire aussi utile que tous les autres mais qui lui, à le mérite d’être concis

Hé ben, ça aurait été plus vite en chiant au milieu de l’espace d’exposition

quelle M…..! de la foutaise , de la branlette …!

J’ai renversé mon sac de terreau avec mes outils.

Je pense que je vais ouvrir une galerie d’exposition.

C’était déjà comme ça dans les années 80, le mépris de classe en plus

Non à l’Art Meg alcoolique,oui à l’Artruisme!

C’est Gaza qui l’a inspiré ?

Toute cette haine… Juste parce que vous captez pas? C’est beaucoup. Qu’en dit votre psy?

Rester simple, savoir que l’art est bourgeois et que les valeurs humanistes n’y comptent peu en dehors de la vitrine. C’est comme cela que l’art pourra continuer de se produire.

« quand j’entends le mot culture, je sors mon révolver »

Ok Adolf

Mais bande de taré vous connaissez rien a l’art, vous n’allez jamais voir d’expos ni de galerie et vous bavez comme des debiles . vous etes les memes tarés qui reprochaient a van gogh de faire des maisons biscornus , aux impressionnistes de ne savoir dessinerà Gauguin de faire un ciel qui n’etait pas bleu, a cedux qui crachaient qui les cubistes sur Picasso de faire n’importe quoi…Vous etes la merde inculte qui ne faisant rien reprochera toujours aux artistes de faire de la merde…. D’ailleurs la merde parfois exposé finalement ne fit que vous tendre un miroir

Help!!!