L’expo ainsi intitulée se passe au Centre Pompidou -Metz jusqu’en février 27. (Elle durera quasiment deux ans)

Elle a été curatée par Cruella Parisy , directrice de l’établissement, assistée par quelques sommités de la curatorie hexagonale.
Ils ont invité le facétieux Maurizzio Cattelan- la banane à faire dialoguer ses propres œuvres avec celles de la collection du musée et même celles des Musée du Vatican.
Ils osent tout…et c’est à ça qu’on les reconnait.
Ils nous feront boire le calice jusqu’à la lie et manger banane avec sa pelure
Ils ne lâchent rien. Avec l’argent public, ils iront jusqu’au bout de atrocités possibles envers l’art, du saccage du patrimoine, de l’irrespect envers les honnêtes gens, du terrorisme envers les vrais artistes, etc.
Mais ils atteignent probablement ici les limites de l’exercice, car on n’imagine pas qu’ils puissent aller plus haut dans l’arrogance grotesque et l’abjecte pédanterie…sans dégringoler piteusement bientôt.
Lisez en effet ce qu’ils osent écrire sans avoir honte d’eux-mêmes : :
« Un dimanche sans fin. Un temps suspendu entre loisir et révolte. Pour célébrer ses 15 ans, le Centre Pompidou-Metz L’exposition aborde la notion de dimanche, un sujet plurivoque qui a suscité chez le collectif de commissaires – réunis autour de l’artiste Maurizio Cattelan – de multiples associations, ce thème soulevant des questions sociales, politiques et esthétiques qui traversent notre société aujourd’hui. » Ben voyons !
« Elle aborde, entre autres, la division entre le temps de loisir et le temps de travail, les espaces privés et publics, la spiritualité, la lumière et le potentiel de l’art à imaginer des mondes alternatifs ou à offrir des méditations mélancoliques. » Agreuh ! Agreuh !
« Elle est divisée en 27 sections qui se déploient à la manière d’un abécédaire, similaire à celui de Gilles Deleuze( une référence incontournable des intellos pédants) chaque section portant le titre d’un slogan, d’un vers d’un poème, d’un roman, d’une chanson – B pour « Bats-toi » ou Q intitulée « Quand nous cesserons de comprendre le monde ».Maman, au secours !
La 27e section est quant à elle nommée d’après une nouvelle lettre ou un nouveau symbole, inventé pour l’exposition. À partir de ce répertoire de pensées, les détenues de la prison pour femmes de la Giudecca à Venise écrivent des textes inspirés par ces 27 titres, qui viennent scander le parcours, et souligner que la transmission artistique n’a pas de frontières » Gniark ! Gniark !.
« Une sélection de peintures, sculptures, d’installations et de films de la collection du Centre Pompidou dialogue avec des œuvres de Maurizio Cattelan, de ses premières pièces, notamment Stadium, un baby-foot géant, à ses créations plus récentes comme Comedian ou son monumental Felix. Le parcours ouvre par ailleurs à un champ chronologique plus vaste que celui des 20e et 21e siècles, à travers la présence de Gradiva des musées du Vatican de manière à montrer la force des sources d’inspiration mythiques antiques pour l’art moderne et contemporain. » Ben voyons Ginette ! Pourquoi se gêner ?
Commissariat :Maurizio Cattelan, Chiara Parisi, directrice du Centre Pompidou-Metz et avec le pôle programmation : Sophie Bernal, Elia Biezunski, Anne Horvath, Laureen Picaut et Zoe Stillpass, accompagnées par Marta Papini.
Plus d’infos sur cette ignominieuse expo:
https://www.centrepompidou-metz.fr/fr/programmation/exposition/dimanche-sans-fin