LA GROSSE RIGOLADE D’ ART « CONTEMPORAIN » AVEC LE PROFESSEUR LABELLE-ROJOUX

Arnauld Labelle-Rojoux, professeur de fouage de gueule à l’école des Beax-Arts de Nice, dite Villa Arson,  de 2007 à 2016, est assurément une des plus belles figures de notre « art contemporain » hexagonal. Une friandise culturelle rassembleuse pour la l’intellosphère bobo parisenne en mal d’identification de classe.

Sur l’image jointe  01, on le voit en grande discussion sur France-Cultrure avec les président des critiques d’art Raphael Cuir, lequel avait alors encore ses cheveux jaunes avant de concubiner avec Madame Orlan.

Labelle-Rojoux, une plante de pied et le critique à cheveux jaunes

Sur l’image 02, on le voit chevauchant un porc

Sur l’images 03 on voit une peinture qu’il a réalisée avec sa propre bite

Peinture de Mr Labelle Rojoux (collection Villa Arson)

Il jouit  aujourd’hui d’un confortable retraité de fonctionnaire de l’art contemporain tout en continuant d’être représenté par la financial gallery Loevenbruck à Paris. Il y expose régulièrement depuis 2003 pour des expos aux titres évocateurs : ( Rien à branler des chiens, 2003 ; C’est quoi dégueulasse ? 2005 ; Quoi ? Encore une exposition ?, 2008 ; L’oignon fait la sauce, 2011 ; Étant damné(s), un épisode de la Passion triste, , 2021).

IL a exposé Le Temps de l’audace à l’IAC de Villeurbanne en 2016,  le prix du Nu nul, au Palais de Tokyo, 2010.  La Villa Tamaris lui  a consacré en 2016 une rétrospective portant le titre Esprit es-tu là ?

Il s’était signalé, il y a une vingtaine d’années sur Arte ou France-Culture, (du temps ou l’exquise Laure Adler avait été chargée par son ami Mitterrand de purger le service audiovisuel public de tous ses éléments non-progressistes ) en sectionnant la cravate d’un des plus célêbres philosophes de l’art sur la place de Paris (Georges Didi Huberman , peut-être ?)

Je tenais donc à rappeler à votre bon souvenir ce personnage à l’humour déconstructif en diable, pur produit du progresssime posturo- culturo- gauchier, à l’occasion de son expo à la Galerie Loewenbruk, intitulée « C’est écrit dessus », où il vend ses texticules sérigraphiés tirés à 50 exemplaires,  pour la modique somme de 200 euros chacun. (Image N° 04 )

200 euros l’aphorisme sérigraphié tiré à 50 ex

ET voilà ce que le critique d’art commis d’office a écrit pour accompagner cette expo :

« Derrière le mot d’esprit, derrière cette façon de faire chavirer la langue commune et ses expressions consacrées, se cache une variation de la notion de « spirituel ». Le mot devient polysémique, le bon souffle une pensée libérée. La lettre peinte, exposée, devient un outil de réflexion et de doute, pleine d’esprit. …Alors consacrée à la question du temps, cette forme écrite devient un jeu subtil de substitution : à la construction narrative de l’histoire se substitue l’évidence d’un tout. Ici, la phrase est image. Non pas seulement parce que le réel a besoin de slogan, mais surtout parce qu’elle provoque ce que cherche l’artiste : une « simultanéité entre le voir et le rire »….Ben voyons Ginette ! Pourquoi se gêner ?

Plus d’infos sur cette exposition :

https://slash-paris.com/fr/evenements/arnaud-labelle-rojoux-c-est-ecrit-dessus

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