LE BON SENS RÉACTIONNAIRISÉ, LE DÉRISOIRE SURDIMENSIONNÉ, LA NIAISERIE DITINGUÉE, LA MISÈRE FINANCIARISÉE, LA LAIDEUR ESTHÉTISÉE, LA CRÉTINERIE INTELLECTUELLAISÉE, LA VACUITÉ BUREAUCRATISÉE, L’INCOMPÉTENCE FONCTIONNARISÉE, LE GROTESQUE OFFICIALISÉ, L’EXTÉRIEUR CENTRALISÉ, LA BEAUTÉ MÉPRISÉE, LA RAIE VERTICALISÉE, LE MONDE ENTIER BURÉNISÉ.
« Ceux qui crachent sur moi sont les mêmes que ceux qui crachaient sur Renoir » Buren
Pour récapituler tout cela concernant l’artiste numéro un de l’art d’Etat français , voici un texte de Jean-Philippe Domecq paru une première fois en 1991, dans la revue Esprit.
Il fut republié ensuite dans Artistes sans art ?, 1994 nouvelles éditions en 1999, 2005, 2009, dans Misère de l’art. Essai sur le dernier demi-siècle de création, 1999, nouvelle édition en 2009 et dans Une nouvelle introduction de l’art du XXe siècle, 2004, ces trois titres réunis dans: Comédie de la critique – trente ans d’art contemporain, 2015
Le fonctionnement de ce qu’il faut bien appeler « l’imposture Buren » y est implacablement démonté, ainsi que les raisons d’une crédibilité cinquantenaire et qui dure encore aujourd’hui. Ce plasticien in situ demeure en effet la clef de voûte d’un système dont les divers enjeux sont si énormes qu’il est inimaginable qu’il s’écroule prochainement…Mais bon, sait-on jamais : une bourasque droitière, une épidémie de chikoungounia, un crack boursier, …tout peut arriver.
Je vous joins copie des 15 pages de ce texte historique que vous pouvez ainsi imprimer et conserver comme témoignage de l’état de délabrement des valeurs caractérisant l’époque actuelle , qui sera dite plus tard « l’époque de l’art contemporain »…Comme le dit Buren lui-même







