… OU LA QUINTESCENCE DE L’ART « CONTEMPORAIN » EN RÉGIONS
Le « réseau documents d’artistes » est un dispositif institutionnel qui a permis de sélectionner environ 600 artistes régionaux français parmi les plus méritants en termes d’engagement conceptualo-bidulaire, sociétalo-questionnatoire et de cassages des codes bourgeois.
Ces 600 plasticiens représentent , selon les instances de sélection , le top + de la création actuelle en France, à l’extrême pointe de la contemporanéité, la fine fleur de la production régionale à vocation d’émergence internationale, et dans l’optique globale d’une contemporainisation-internationalisation des « territoires »…
600 artistes, c’est peu par rapport aux 6000 qui ont bourré les FRAC de 36000 œuvres….(Mais il est vrai que dans ces 6000, il y en a une bonne moitié d’étrangers.)
Ce réseau d’ « excellence » est un coûteux bidule bureaucratique, un « machin théodule » de plus, qui ne sert à rien sinon à perpétuer l’entre-soi dégénératif de la culture étatisée.
Son fonctionnement est parfaitement glauque . On se sait pas très bien qui sont les « experts » qui font la sélection de ces artistes, ni qui les a désignés comme tels, ni quel est l’initiateur de ce bidule dont le principe-même est d’une ineptie ahurissante.
Vous pourrez découvrir ces 600 artistes sur le lien suivant :
https://reseau-dda.org/fr/artists
90% dee eouvres que vous y verrez, artistes sont le produit d’un délire déconstructif proche de l’internement en hôpital psy…Quand aux textes qui les accompagnent c’est encore pire.
Je vous joins l’image d’un plastien qui vit et travail dans la Creuse, et le texte qu’a pondu pour lui l’indépassable Philippe Piguet, critique d’art breton, spécialiste de la relation sport-art contemporain, et qui est assurément le commentateur d’art le plus gouleyant du grand-ouest

Paul Pouvreau déconstruit le sujet pour reconstruire le sens
Par Philippe Piguet,
« Sous des formes d’incertitudes plus que de certitudes, mon travail me semble être comme une mise en jeu continuelle de la représentation du réel » précise volontiers Paul Pouvreau. Celui-ci se saisit par exemple d’un simple carton d’emballage dont le motif de paysage est silhouetté en aplat vert sur l’une des faces et le fait reposer sur un sol plus ou moins naturel d’herbes fines de sorte que l’horizon de l’un se confonde avec l’horizon de l’autre.
Si la photographie lui permet d’opérer ainsi sa propre mise en ordre du réel, la démarche de Paul Pouvreau vise pour l’essentiel à déconstruire le sujet pour reconstruire le sens. Ce faisant, elle s’inscrit à l’ordre d’une production d’images dont la finalité est la mise à nu des relations, explicites ou non, qu’entretiennent les éléments qui les composent. Il y est question d’échelle et d’ordonnancement, sur un ton qui ne manque ni de rigueur, ni d’humour. »
Splendide, en effet l’artiste présentant ces deux sacs poubelles a du accomplir un effort surhumain pour se creuser ce qui lui reste de cerveau pour parvenir à « accomplir » une oeuvre digne d’un SECTOM ou SMECTOM. En effet il ne manque d’humour, mais aussi de rigueur !!! je dirai une rigueur dans la continuité de son déploiement de stupidité et d’ânerie, pas creuse mais profonde . Bien sur il est difficile de cerner le profil de l’artiste » car il s’impose et se situe à des niveaux totalement incompréhensibles pour les incultes que nous sommes.