Une très subversive et déconstructive invagination de la picturalité sur elle-même
“la peinture est un fait en soi et c’est sur son terrain que l’on doit poser les problèmes.” , psalmodiaient en chœur les 12 apôtres de SS
On dit, dans les milieux autorisés (à le dire), que le mouvement Supports-surfaces est le dernier des mouvements avant-gardistes français. Cette farce conceptualo -posturo-verbeuse pionnière matière de déconstructivité progressiste, n’a duré que quelques mois certes, mais s’est inscrite durablement dans l’histoire officielle de l’art hexagonal comme repère incontournable et imposé dans les écoles d’art et de formatage des critiques et fonctionnaires de l’art.
Avant que l’on ait oublié cette croquignolade historique, j’ai tenu à vous en rappeler la très éphémère existence, avec les documents joints