QUAND LES UNIVERSITAIRES SOULÈVENT- ENFIN-  LE GROS LIÈVRE DE L’ART « CONTEMPORAIN » D’ÉTAT

Ils découvrent enfin que « Les subventions culturelles peuvent menacer la liberté de création  »

Cela fait seulement 50 ans que tout le monde sait- sauf eux –  que l’interventionnisme de l’Etat dans le champ de  création est catastrophique pour celle-ci… 50 ans qu’il existe des ouvrages et des textes d’analyse sur cette ingérence ravageuse…50 ans qu’on sait qu’en la matière, la spéculation intellectuelle gaucho- progressiste est en collusion structurelle avec la spéculation artistico-financier du grand capital….Et voilà donc qu’aujourd’hui les universitaires découvrent l’énorme « pot aux roses – chancre mou » qui était là sous leurs yeux

Mieux vaut tard que jamais !

Et même si leur analyse reste un peu simplette, incomplète et quelque peu imbitable pour faire plus savant et universitaire, il faut se féliciter de cette brusque rupture de l’omerta dans un milieu ou le déni du réel est de règle et où le politiquement correct émanant du « socialisme mental » ambiant terrifie tout le monde.

« L’instrumentalisation de la culture à des fins politiques n’est pas nouvelle. Elle est même au fondement de toutes les aides à la création et des politiques culturelles, analyse le sociologue Fabrice Raffin. Mais, de plus en plus, l’attribution de subventions publiques devient un moyen de contrôle et d’application de valeurs sociétales en vogue. Une évolution loin d’être anodine. » 

L’intégralité du texte ici :

Les subventions culturelles menacent-elles la liberté de création ?

C’est une tribune rédigée par Fabrice RaffinUniversité de Picardie Jules Verne (UPJV) 

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