EXISTE-T-IL UN LIEN ENTRE LE NARCOTRAFIC ET LE TRAFIC D’ART « CONTEMPORAIN »

Voici quelques éléments de réflexion, qui pourraient accréditer cette thèse que les critiques-historiens -philosophes-psycho-sociologues, sémiologues, proctologues réunis de l’art n’ont pas encore osé aborder ensemble.

(L’art dit contemporain est une aussi gigantesque que funeste rigolade, qu’il convient  d’aborder, dans un premier temps, sur le mode ludique et jubilatoire…Avant de pouvoir ensuite s’occuper sérieusement du démontage du mécanisme de fonctionnement de cette sinistre bouffonnerie.)

1 – La rumeur circulait, il y a  une trentaine d’années, selon laquelle le puissant galeriste new -yorkais Léo Castelli complétait ses liens avec la CIA par une proximité avec la Mafia…Il était aussi  notoirement proche du galeriste parisien Templon, lequel était étroitement lié aux fesses de Catherine M…. , fondatrice en 1972 de la revue Art Press, Cheval de Troie de l’art made in USA…Le tout dans une stratégie très sophistiquée de soft  power permettant aux USA de reprendre le contrôle de la culture européenne qui était aux mains de l’est et du PC, et d’installer  la suprématie anglo-saxonne sur le marché de l’art financier international… Tout cela avec la contribution  de l’intelligentsia  gauchiste française , idiote utile des grands circuits mafioïdes , lesquels  trouvant là une bonne occasion de blanchir tant moralement que financièrement leurs vilénies diverses

2 – De la connivence de fond entre la vertu récréative, psychothérapeutique  et libératrice du pétard canabisé ,  du  bourrage de  pif cocaïné,  et du subversivisme psychotrope   d’un art « contempouan »  casseur des codes  bourgeois.

3- Du lien de parentalité consanguine  entre la vulgarité des œuvres de Koons et celle de grands narco-trafiquants qui raffolent de ces grotesqueries autant comme vecteurs de blanchiment d’argent que comme glorification  de leur mauvais goût et de leur grossièreté foncière…L’art contemporain pouvant être considéré en effet comme outil d’esthétisation de la laideur , de sublimation de la cochonnerie (image jointe), d’intellectualisation de la bêtise la plus crasse et d’absolution des pires fripouilleries devant l’éternel…sans parler de ses vertus défiscalisatoires.

4 –De la corrélation entre les consommations de drogue et d’art contemporain.

 Il  est probable que si des sociologues suicidaires  osaient aujourd’hui faire ( Sans l’autorisation de Cruella Nathalie Heinich ) des enquêtes et des statistiques  précises, ils constateraient que les  addictions couplées aux deux sont 10 fois plus fréquentes chez les gaucho- insoumis progressistes déconstruits, que chez les cathos conservateurs beaucoup plus solides psychiquement et structurés mentalement, et , pour cela , n’ayant pas besoin du recours aux  psychotropes et  neuro-compresseurs

Il parait que le plasticien décolonialiste Kader Attia a proposé à Rachida Dati que chaque FRAC accueille une salle de shoot propulseuse de bien-être, et propice à une méditation transcendentale coachée par un médiateur  ad-hoc formé en école des beaux-arts en artothérapie.

Il parait que le plasticien comportementaliste fils de viticulteurs, Nicolas Boulard , à qui le FRAC-Alsace avait mis à disposition un lopin de terre attenant à ses bâtiments, pour cultiver de la vigne et produire des centaines de bouteilles de « piquette de FRAC », a proposé de planter aussi du cannabis à infuser dans son breuvage.

5 – De la complaisance pour le Hezbollah

Les artistes et adeptes de l’art contemporain dans sa variante décolonialiste-émigrationniste ont parfois une tendresse particulière pour le Hezbollah, moins terroriste pour eux que gentil paysan eco-responsable , cultivant paisiblement ,  dans la plaine de la Bekaa,   de plantes euphorisantes certifiée bio et hallal, inductrices de paix et d’amour , …Ils sont aussi favorables à une « immigration de travail » pour la distribution UBER de substance euphorisantes, thérapeutico- récréatives à tous les militants du Nouveau Parti Populaire.

5 –Du démantèlement des réseaux de fabrication et de distribution de ces deux dangereux produits addictifs aussi malfaisants  l’un que l’autre pour la préservation  lien social, pour la santé mentale du peuple frnaçais, et son ‘’bien-vivreensemble ». Car ici,  la tâche sera encore plus difficile du côté du trafic d’ AC que de celui du narcotrafic. En effet,  si les gros bonnets de la drogue sont indentifiables, ceux de l’AC ne le sont pas. Il n’y a ni tête, ni dirigeants, ni hiérarchie, ni responsables, ni interlocuteurs dans cet ectoplasme invertébré qu’est l’appareil art contemporain, où les apparatchiks mous sont interchangeables dans un jeu étourdissant  de chaises musicales ou de brouillages des pistes, où , par exemple ,, tel Aillagon ex-ministre de la culture, devient directeur du Château de Versailles, puis Directeur de la fondation de l’oligarque Pinault.

6 – Du prochain recyclage des acteurs et des produits euphorisants

Pour ce qui est  de la drogue, on pourra tout simplement met les trafiquants en prison et on brûlera les stocks….Pour ce qui est l’art contemporain, ce sera  plus compliqué de savoir ce qu’on fera des milliers de dindons et pintades culturelles préposés à l’AC dans l’appareil culturel institutionnel…Devra -t-on leur administrer un thérapie réparatrice à base de camomille, de tilleul ou de fleur d’oranger ?

Il faudra aussi savoir ce qu’on fera des dizaines de milliers  de conceptualo-bidules, encombrants,    inaliénables et farcies  d’idéologies diverses, bourrant les FRAC et les collections muséales…De savoir ce qu’on fera  des poteaux en béton armé de Buren, des tulipes de Koons, de la bagnole accidentée de Lavier, des prothèses jambières de Kader Atta, du coup de boule d’Abdessemed, et autres friandises pour cultureux middle-class..

7 – Vers la fin de l’utilisation de  substances hallucinogènes pour la création artistique ?

La vente prochaine le 20 novembre, prévue à plus d’un million de dollars, chez Sotheby’s, d’un des multiples exemplaires de la banane scotchée de Cattelan ( image jointe)  , illustre bien la puissance  décervelante et déshumanisante de ce  trafic international de l’art « contemporain » conjugué à celui de la drogue récréative.

Une salutaire réaction  à cette performance artistico- financiaro-bananière  inouïe, semble se manifester , tant du côté du Minnistère de  la culture que ans celui du  maintien de l’ordre républicain… Permettra -t- elle de  mettre fin   à 50 ans d’hallucination morale, intellectuelle et esthétique venant du gauchisme culturel  d’État,  artcontemporainiste, déconstrtuctiviste, progressiste  et pro – chichon pour tous ?

Affaire à suivre…

Le sniffeur de banane
Buren et sa banane décourbée
une cochonneris koonsienne
La banane
et le marteau
Perrotin et da banane scotchée à 1 millions de dollars

1 thought on “EXISTE-T-IL UN LIEN ENTRE LE NARCOTRAFIC ET LE TRAFIC D’ART « CONTEMPORAIN »”

  1. Bonjour et merci ! Un ou des liens concernant trafics et art contemporain. Peut-être ?
    Mais l’heure reste actuellement aux économies, mêmes marginales.

    Proposée dans la loi de Finances 2025, au chapitre économies de dépenses, une baisse de 35 % du Fonds de soutien à l’expression radiophonique a provoqué une levée de boucliers de la part des radios associatives, qui vivent grâce à ce soutien.
    Les jours des FRAC, plus généralement des achats d’état, donc de l’art subventionné, sont désormais comptés. Ils devraient même sans doute trouver consensus.
    L’exception culturelle à la française ?
    Quant à la rumeur « selon laquelle le galeriste new-yorkais Léo Castelli entretenait des liens avec la CIA et une proximité avec la Mafia… Il était aussi notoirement proche du galeriste parisien Templon, lequel était lié dans une stratégie de soft power permettant aux USA de prendre le contrôle de la culture européenne en installant la suprématie anglo-saxonne sur le marché de l’art international ».
    Le phénomène n’est hélas pas nouveau et prend source dès l’époque de la Guerre froide.

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