Aucun autre pays au monde n’a été aussi loin que la France dans la déconstruction progressiste de la création artistique sous toutes ses formes…Aucun n’a été aussi haut dans le cassages des codes bourgeois, dans la destruction des valeurs universelles et éternelles, désormais déclarées réactionnaires, dans la subversion des critères esthétiques, dans l’intellectualisation d’un inepte devenu libérateur, dans la survalorisation du grotesque, etc.
Tout cela constituant ce que certains appellent l’exception culturelle française.
Certes, l’Iran a bien eu son ayatollah Khomeiny et ses mollahs….Mais la France a eu de bien plus redoutables barbus de l’intellect avec Jacques Deriida, Michel Foucault , Djack Lang et quantité de grands et petits Savonaroles gardiens d’un progressisme carnassier, d’une bien-pensance bétonnée, d’un artistiquement conforme à une idéologie gauchière pour qui le sensible, le savoir – faire, le mystère poétique, la dimension sacrée, sont d’essence extrême -droitière et nauséabonde. Une idéologie d’une arrogance de type totalitaire, vidant l’art de son humanité et de son contenu proprement artistique pour le bourrer des plus misérables idéologies du moment, éco-responsables, décolonialistes, wokiste, néo-féministes, mobilité douce et toilettes sèches dégenrées, etc., et nous infliger la vue d’œuvres d’une pitoyable grotesquerie, telle que celle ( jointe) qu’on peut voir actuellement au Palais de Tokyo, ce haut -lieu de torture du sens et des plus belles atrocités progressistes, éco-responsables et durables.
On attend l’expression de lassitude du politique pourvoyeur de subventions, sous forme d’un arrêt de la perfusion en argent publique , seul moyen de stopper ce carnage