C’est un projet que caresse, parait-il, depuis un moment, l’académicien des Beaux-Arts, Hervé Di Rosa.
Cette réalisation est beaucoup plus ambitieusement modeste que son excellent et goûteux MIAM-MIAM , musée des arts modestes à Sète.
La « peinture qui pique les yeux » , c’est une peinture d’une telle mocheté, d’une telle niaiserie et d’un tette maladresse, qu’elle recèle une certaine poésie, une certaine tendresse, un certain mystère, une certaine poésie, une certaine vérité, une certaine créativité.
C’est un art hors de toutes les catégories répertoriées, bien au-delà du brut, du populaire, du hors -norme, de l’out-sider.
C’est un art qui fait sens par son indigence même, laquelle devenant ainsi comme une nouvelle manière d’exprimer sa liberté créative.
C’est nouveau aussi… Et ça peut aussi rapporter gros.
Ajoutons que cela s’inscrit en complémentarité de l’art « proprement » contemporain, pour parachever l’exploration de l’inepte, de la laideur et du grotesque.
Mon camarade Jacques Flechemuller est LA star de cette « peinture qui pique les yeux » (image jointe)
Di Rosa connait-il le travail de Flechemuller ? Le fera-t-il figurer dans son musée ?
Autre chose :
Connaissez-vous cette « conférence gesticulée » de Franck Lepage sur l’art contemporain
Bonjour,
Je suis un quidam qui peint, qui vend parfois mais une heureuse artiste. Franck Lepage dit avec intelligence des choses justes, merci de me l’avoir permis de l’écouter
Cdlt
Michèle Azzi
Ca m’intéresse et j’aimerai recevoir des infos régulièrement sur ce programme
Merci.