Ça nous rappelle l’histoire de Coluche au sujet de la lessive Omo.
Mais là , il s’agit d’une histoire tout aussi cocasse racontée par Mr Dagen, le premier pigiste d’art au journal Le Monde , au sujet d’un des produit artistico financiers parmi les plus chers du monde et qui expose à Paris. Là, Mr Dagen s’est vraiment défoncé pour rendre crédible cette histoire de plus blanc que blanc… et faire comprendre au péquin moyen que « La question n’est jamais : quoi peindre, mais comment peindre ? » … Et c’est bien là qu’on mesure le talent rhétorique embistrouilleur de ces grands pigistes d’art, redoutables décerveleurs du bon peuple , au service de la spéculation artistique tant intellectuelle que financière