Mon agent infiltré a pu aller au vernissage de l’expo des œuvres de la cuvée 23-24 de la trentaine des diplômés avec félicitations du jury de la prestigieuse École Nationale des Beaux-Arts de Paris.
Il a pu m’en rapporter un bon lot de réjouissantes images que je vous joins… Je regrette qu’il n’ait pu me fournir les texticules d’accompagnement pour chaque œuvre, car j’adore ces petites friandises d’imbitabilté langagière, que les scribouillards au service de l’administration savent nous concocter mécaniquement moyennant la modeste rémunération de 150 ou 200 le feuillet.
Les images que je vous joins vous donneront une idée de l’ampleur du carnage artistique que nous propose cette expo curatée par Émilie Villez et intitulée en hommage au land-artiste Richard Long « Des lignes de désir »…Agreuh! Agreuh !
Une vraie tuerie ! Une totale dévastation ! Un épouvantable spectacle d’atrocités diverses jonchant le sol et couvrant les murs. Comme si une horde de barbares, ou un troupeau de bêtes féroces étaient passés par là, s’acharnant à détruire, à déconstruire, à casser les codes bourgeois, etc…Le sentiment d’horreur étant décuplé par ce qui peut être vu comme la profanation d’un précieux patrimoine architectural parisien et d’un haut-lieu d’histoire de l’art français.
Les raisons et origines profondes de ces atrocités restent analyser (ainsi que l’omerta qui les entoure ) …Et ce n’est pas ce qu’en dit l’exquise Alexia Fabre , directrice des lieux (après avoir dirigé le MAC-VAL et promise à la ditectiob de quelque collection Pinault ou Pernod Ricard (à consommer avec modération) , qui nous apportera quelque explication plausible : « « La question de la diversité dans notre recrutement est fondamentale », nous dit-elle et elle ajoute sans faiblir dans le même registre woko-progressiste: « Sortir des sentiers battus, tout en trouvant sa place dans l’écosystème de l’art : l’enjeu de l’exposition est avant tout de présenter au public un panorama de pratiques artistiques contemporaines, ouvrant des pistes de résonance et de réflexion sur l’art et le monde d’aujourd’hui. « Lignes de désir », c’est le fil rouge qui crée du lien. En 2024, nous insisterons sur la transition écologique, qui irrigue déjà tout »…Ben voyons Ginette !
Que faire ? Que faire ? Que faire ?
Moi, je propose qu’on ferme cette école d’art parisienne et nationale, ainsi que toutes les autres régionales, départementales et municipales propageant la même idéologie dévastatrice….Qu’on place les personnels en centre de déradicalisation et de recérébration à la campagne ou au bord de la mer….La même chose bien sùr pour les FRAC qui sont intimement liés dans cette conjuration des imbéciles et de barbares qu’est l’art pour la production de cet art dont vous avez ici quelques images.
Argh !
AFFLIGEANT !
Malheureusement et comme dans beaucoup de domaines, peinture, photos, sculpture, performances, c’est le musée qui fait l’art.