Comme moi, vous connaissiez probablement les prix William Turner et Marcel Duchamp, qui récompensent les plus récentes inepties posturo-conceptualo-bidulaires à lancer sur le marché international de l’art dit contemporain…
Et comme moi vous découvrez l’existence de ce prix Fluxus-CPGA ; qui semble bien faire redondance en ternes de cruauté visuelle et mentale avec les deux précédents…tel qu’on peut le constater avec les 2 images jointes, des œuvres de Daiga Grantina et Stephanie Saidé, qui empochent chacune 15 000 euros (quand on aime, o ne compte pas)
Précisons que le prix Fluxus-CPGA, en partenariat avec Frieze London, « se donne comme ambition de soutenir les talents de la scène artistique française et de favoriser sa visibilité et son rayonnement à l’international. Il met également à l’honneur la relation entre l’artiste et sa galerie ». Ben voyons Ginette !
Fluxus, pour ceux qui l’ont oublié, c’est ce fameux mouvement international né dans les années 60 ( avec Ben et Fillou pour la France) , qui fut le premier à « questionner les rapports de l’art avec la société. » Fluxus, 60 ans après, reste encore une référence fétiche pour les profs et les fonctionnaires de l’art contemporain .Les produits Fluxus, gardeent encore un forte cote sur le marché spéculatif de l’inepte questionnatoire sociétal.
Quant au CPGA, c’est la fédération des galeries de placement financiers tels que Fluxus et Supports-surface…et de ringardiation des galeries prospectives à visage humain.
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