Dans le cadre de sa politique d’économie budgétaire l’Etat entreprend de fusionner ou supprimer un tiers de ses agence et opérateurs.

Parmi ceux-ci , les FRAC, purs produits de la bureaucratie et de « l’Eta profond » ont des inquiétudes à avoir .
Voici une étude que Marc Vérat a fait parvenir au Ministère ;
« Politique culturelle, vers un changement de paradigme : Une source importante d’économie et, surtout, d’égalité républicaine. Une mission de contrôle, d’audit, d’étude, de conseil et d’évaluation. Rapports transmis à Madame Rachida Dati sur l’avenir des Ecoles et Centres d’art, des FRAC, DRAC, et autres institutions culturelles.
Aujourd’hui, 91 milliards d’euros sont distribués aux différents opérateurs de l’Etat.
On trouve parmi ceux-ci de grands établissements publics comme les universités, Pôle emploi, Météo France, mais aussi des organismes inutiles ou aux compétences mal définies :
Business France, Atout-France, Office français de la biodiversité ; des agences et instituts tout autant obscurs : Institut national de l’origine et de la qualité, Agence de contrôle du logement social, Agence publique pour l’immobilier de la Justice…
Parmi les opérateurs à vocation culturelle certains, comme l’Opéra de Paris ou la Comédie française, ont déjà perdu respectivement 6 et 5 millions d’euros et le budget de la culture, après cinq années de hausse, se trouve réduit fin 2024 de 204 millions d’euros.
Mais le Centre National des Arts Plastiques coûte toujours 11.2 M€ et l’Académie de France à Rome pas moins de 10.9 M€.
Cependant d’autres économies, chiffrées cette fois non plus en millions mais en milliards, ne seraient pas pour autant impopulaires.
En 2020, le budget global des 22 Frac s’élevait à plus de 36 millions d’euros. Pourtant, ces Fonds Régionaux d’Art Contemporain constituent une source de dépense anachronique tant au niveau des personnels, que du non-sens des collections qui génèrent incompréhension du public et, surtout, une grande injustice pour une écrasante majorité de créateurs ». » Marc Vérat