Cette allégresse colorée est plutôt rare dans les FRAC ou l’on fait plutôt dans la sinistre maso- intellectualité.
Etonnante donc cette proposition visuelle de type papier peint de chambre d’enfant.
Que se passe-r-il donc ? C’est quoi ce retournement à 180 degrés vers un art d’allure très populaire ?
Mais rassurez-vous. Rien de changé. Au contraire, car ici l’idéologie conceptualo-bidulaire habituelle est renforcée par un wokisme des plus compact, pour dénoncer les « stéréotypes liés à la féminité »…Nous restons donc dans le même registre de la nullité artistique, mentale et affective…à la mesure de sa foudroyante arrogance moralisante et engagée sociétalement
Voici le commentaire d’accompagnement :
« vif, engageant et joyeux, le travail de Lily Van Der Stocker prend pour sujet les stéréotypes liés à la féminité, mais aussi l’économie de la création artistique et ses contrariétés quotidiennes (tâches domestiques, problèmes de santé, soucis d’argent…). Dans cette exposition, un ensemble de grandes peintures murales agrémentées de pièces de mobilier peintes mettent en valeur ces thèmes universels, ainsi que d’autres qui ont été traditionnellement tenus éloignés de l’univers de l’art «sérieux» comme le décoratif ou les liens affectifs. »…Ben voyons Ginette ! Expo au Frac Caen du 6 avril au 22