SOURDE ANGOISSE  EXISTENTIELLE DANS LES ÉCOLES DES BEAUX-ARTS PUBLIQUES

Lire ici :

https://mailchi.mp/andea/lanuitdesecolesdart?e=16cb0660e8

Organes reproducteurs et perpétuateurs d’un éco-système renfermé sur lui-même et ravagé par 50 ans de consanguinité dégénéraive, les Ecoles des Beuax-arts publiques se sentent au bout de leur régne dévastateur.

Les professeurs craignent pour leur autorité intellectuelle et morale, et surtout pour  leur emploi salarié.

Ils se réunissent donc pour faire le point sur leur alarmante situation avec la présence réconfortante leurs collègues artistes ex-profs stars académiciens comme Hyber, Bustamente, Othoniel, Mouraud , etc.

Ce 24 septembre 2025 aura donc lieu au Palais de l’Institut de France  un après-midi d’échanges et de réflexion à huis clos entre académiciens et représentants des écoles des  Beaux-Arts publiques…

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… pour répondre à la question ainsi formulée par eux: 

« Quel avenir pour l’enseignement artistique supérieur public , face aux disparitions récentes d’établissements, au sous-financement et à l’absence de stratégie nationale commune, le réseau des 44 écoles d’art publiques, majoritairement soutenu par les collectivités locales, peine à répondre à la demande croissante et à garantir l’équité entre étudiants et établissements. Statut des enseignants, financement de la recherche, inégalités des investissements de l’État : dans un paysage où l’enseignement supérieur privé s’impose, remettre ces sujets au centre du débat politique en réinvestissant le terrain législatif devient une urgence, et la défense du service public de l’art et du design un impératif. »

….vaste question que l’on pourrait formuler plus exactement  ainsi :
Est-il encore possible de poursuivre impunément cette politique, qui dure depuis une demi-siècle, de dévervelage et d’endoctrinement de milliers de jeunes gens  à l’esthétique conceptualo-bidulaire,  en leur interdisant d’apprendre à peindre et dessiner,  pour  les transformer  en petits zombies lobotomisés tatoués des avant-bras, fabricants de produits standardisés pour les FRAC et les MAC ? Cette politique d’assistanat pour de dizaines de milliers de jeunes décérébrés sur-intellectualisés, tenus en laisse par des promesses de « résidences »ici ou là, de petites expos en galeries subventionnées,, de petites animations rétribuées pour initier les scolaires ou les personnes âgées à l’art contemporain,etc … Avec la perspective d’ultime consécration  par un prix Marcel Duchamp  ou d’un séjour à la Villa Médicis,  peut-elle  tenir très longtemps encore. ? Combien de temps encore les collectivités locales vont-elles accepter , sans avoir leur mot à dire, de financer au deux tiers, des dispositifs dont elles se rendent de mieux en mieux compte de leur ineptie foncière et de leur nocivité pour l’art et pour le sens commun. ?

 
Le cas Bustamante :
Le plasticien posturo-conceptuel Jean-Marc Bustamamte commença à être connu en introduisant une remorque de camion dans une chapelle à Carpentras. Camion qui fut très vite délogé par le maire de la ville, lequel fut immédiatement traité de facho réactionnaire, en même temps que Mr Bustamante, défendu par l’avocate protectrice  des droite moraux et intellectuels des artiste, obtint 82 000 euros de dommages et intérêts pour compenser le préjudice financier de ce délogeage..
Ensuite Mr Busramante fut nommé directeur de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Ensuite il fut mommé acadamicien des Beaux-Arts.
La notoriété de Mr Bustamante tient aussi à cette déclaration qu’il fit alors qu’il était directeur de l’ENSBA-Paris, que sur cent élève de cette école un seul devenait artiste, ce serait déjà pas mal ….lui-même ne l’étant pas vraiment
 
Plus d’infos ici :
https://lagazettedenicole.art/lacademicien-des-beau-arts-bustamante-aime-les-eglises/

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