QUAND UN QUOTIDIEN DE PROVINCE FLINGUE L’ART « CONTEMPORAIN »

C’est probablement par la périphérie que viendra la prise de conscience sur la bouffonnerie consubstantielle à l’art dit contemporain.

Il serait en effet inimaginable que cet  entretien avec  l’écrivain Francis Mizio, au sujet de son essai flingueur, paru dans le journal Press-Océan, puisse être publié par un magazine ou journal national, spécialisé en art ou pas et aussi réactionnaire soit-il.

Francis Mizio invente dans cet ouvrage paru aux éditions « Le niveau baisse »ce personnage d’  Eugénie Delune, typiquement « schtroumpf émergent sur la scène artistique internationale », questionneuse sociétale, récente diplômée avec félicitations du jury d’une école des beaux-Arts de Province  et dont la devise ion ne peut pls performative, est : « nous sommes tous et toutes giraphiques »

Ce qu’on pourrait prendre pour une caracature est , en fait, bien au-dessous de la réalité

Vous trouverez ci-joint, copie de la page de Press Océan du 1er Déc  24

« Eugénie Delune , introspective, prospective, perspectice, rétrospective » aux Editions Le Niveau baisse . Tiré à cent exemplaires numérotés. Disponibles en écrivant à l’auteur francismizio@wanadoo.fr ou francismizio.net

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *