Il se contente de signer les murs plastiquement intéressants, comme celui-ci avec de belles fêlures et quelques traces jaunes avec un cadre de planches naturelles…Une démarche in situ par excellence, picturalement douce et idéologiquement neutre, qui interroge radicalement les fondamentaux de la création plastique murale en milieu urbain et sub-urbain… Bravo Julien ! T’es un vrai pote !

Il ressemble assez à Depardieu, j’avais cru que c’était lui. Mais bon, il vaut mieux qu’il passe son temps à ces enfantillages un peu débiles, qu’à violer les soubrettes de plateaux. Les ravages de l’âge : autrefois, il faisait faire des travaux dans sa villa de Vallauris par un employé municipal qui aurait dû être à son poste et qu’il finissait par oublier de payer, villa dans laquelle avec quelques abrutis ses copains, il faisait tellement de boucan la nuit que personne ne dormait alentour, ou bien il collectionnait des montres de mauvais goût habituellement acquises par des ploucs friqués… A présent qu’il est gâteux, il se livre à cet innocent passe-temps…Ça aurait pu être bien pire.
C’est de l’appropriation gratuite de la dégradation naturelle d’un mur . Déjà Léonard de Vinci conseille de regarder les fissures dans les murs pour s’inspirer. La dégradation naturelle d’une surface présente de multiples . »paysages »ˆ
quelques filets d’or dans les craquelures et ce serait du kintsugi-street-art !
Et un coup de barbouille sur l’ensemble, et ce serait un mur propre…