Chaque jour les chaines infos en continu nous apportent leur gros paquet de récits de crimes épouvantables, d’attentat en tous genres , d’atrocités diverses . Il y a là l’ expression d’une violence sociétale en croissance exponentielle , à laquelle on peut s’accoutumer, certes, mais qui reste très anxiogène .
Comme autre facteur non négligeable de progression de cette anxiété collective, il y a « l’art contemporain », religion de paix et d’amour, avec son offre inépuisable et croissante, d’ horreurs artistiques, de morbidités, de cassages de codes, de déconstruction des repères, de subversion systématique des règles élémentaires, d’ attentats au sens commun , de violences symboliques, etc…Le tout au nom de la libération de la créativité….Le tout entretenant un climat de terreur, qui ne se cantonne malheureusemnt pas au seul entre-soi consanguin dégénératif de l’appareil institutionnel qui le produit.
Et puis, il y a la sortie régulière des écoles des Beaux- Arts de gros paquets de jeunes talibans analphabètes , sociopathes et décérébrés, diplômés avec la félicitations de jurys de psychopathes fonctionnarisés.
Et puis il y a les actions groupées de ces jeunes terroristes sous forme d’exposition collectives organisées par les FRAC. Démonstrations très médiatisées qui permettent , en occultant toute la partie saine, positive, inventives de la création artistique d’aujourd’hui, de préserver ce climat anxiogène et délétère , garant de l’efficacité de la politique culturelle étatique.
Voici un exemple de ces manifestations artistiques à fonction terrorisante et débilitante : il s’agit de cette expo intitulée «Primavera, Primavera… à l’écoute de la génération qui vient … Les nouveaux printemps d’une génération » organisée au FRAC Nouvele Aquitaine par sa nouvelle directrice Elfi Turpin.
Laquelle Mademoiselle Turpin nous déclare ceci qui n’a rien de bien rassurant au sujet de cette expo :
« Cette expo «Primavera, Primavera» propose un regard prospectif sur les créations d’une sélection d’artistes qui portent les interrogations, les doutes et les luttes des jeunes générations.
À l’heure où la crise climatique et ses conséquences imprègnent nos pensées, nos manières d’habiter, de consommer et de faire, quelles conduites et alternatives engager pour faire face à ce monde changeant ? Devant les complexités de vie grandissantes et dans une société où les logiques de mondialisation dominent, la nouvelle génération reste pleinement consciente des défis à relever. Les œuvres montrées n’apportent pas de réponses préconçues face à un état du monde mais traduisent plutôt les inquiétudes, les revendications ou encore les aspirations d’un ensemble d’artistes. »
Plus d’infos sur cette terrible expo,
avec la liste des 70 artistes y participant, dont je vous ai extrait quelques images d’œuvres afin que vous mesuriez bien de visu leur dangerosité plasticienne:
Pour ce qui est de Mamoiselle Turpin :
Elfi Turpin, nous dit-on, vient d’un territoire rural (Alsace), où elle a travaillé pendant onze ans à faire connaître l’art contemporain aux habitants, et plus particulièrement à ceux qui en sont éloignés. Elle déclare vouloir travailler à la création d’œuvres en associant les habitants, avec leur imaginaire, leurs ressources culturelles, leurs connaissances. Pour respecter leurs droits culturels….Ben voyons Ginette !
Pour plus d’infos , voici ce que j’avais déjà écrit sur elle :
N.B. : L’art dit contemporain est une aussi gigantesque que funeste rigolade, qu’il convient d’aborder, dans un premier temps, sur le mode ludique et jubilatoire…Avant de pouvoir ensuite s’occuper sérieusement du démontage du mécanisme de fonctionnement de cette sinistre bouffonnerie.