…Un des pires dictatures esthétiques du monde.
19 réfractaires à l’art contemporain d’Etat viennent d’être livrés à l’opprobre publique sur la Place du Palais Royal
(Dessin de Jean-François Debus)
ON NE BADINE PAS AVEC L’ART CONTEMPORAIN EN BURENISTAN…
EH, OUI ON EN EST LÀ !
LE « PETIT PEUPLE ÉLU »
NOUS .(……) SANS VASELINE
MERCI D’AVOIR PENSÉ À MOI POUR LE DESSIN
AMITIÉ
Buren, c’est humanisme et sensibilité.
Avez-vous vu humecté vos doigts (d’honneur) dans les larmes qui coulent sur les bandes noires ?
Avez-vous humé les rêves qui s’inscrivent, transparents, le long des bandes blanches ?
Ah oui ! Merci à l’art comptant pour rien reconnaissant.
Un peu comme Me Too: le temps de trouver un nouvel équilibre, ce que j’ai reçu est dans le m^me excès.
L’exemple des colonnes de Buren n’est pas bien choisi, je pense (voire j’affirme), puisque à la plce d’un parking le lieu est devenu un enfroit de jeu. Les gens se mettent dessus comme sur des socles, font des photos, jouent du lieu.
Je préfère parler de la vacuité de la voûte colorée installé à l’Elysée qui n’offre m^me pas cett epossibilité « d’usage ».
Autant mentionner plutôt dans la foulée Jeff Koos et sa fausse contribution à la tuerie du Bataclan. Et tant d’autres, en effet.