« L’art contemporain est une espèce de dénomination qui ne veut strictement rien dire… C’est seulement un fragment de l’art qui se fait et qui sera un jour défini entre 1999 et 2030, et dont on dira que « c’est la période de l’art contemporain »
Daniel Buren (La Nouvelle République du Centre, octobre 2023)
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En voici la table des matières :
Doit-on ne plus s’étonner de rien en art contemporain ?
L’art « contemporain » : une pure invention des historiens d’art
Coup de tonnerre dans l’histoire de l’art: La fameuse pissoire de Duchamp ne serait pas l’œuvre de celui-ci !
À quoi sert l’histoire de l’art aujourd’hui ?
Y a-t-il un sociologue de l’art dans l’avion ?
« L’observation participante » : le nouveau trip du sociologue d’art contemporain
Parlez-vous l’art contemporain ?
L’art « contemporain » tous azimuts
Du subventionnement de l’insignifiance dans l’art d’Etat
Quelques beaux morceaux de processualité discursive et de cuistrerie langagière
De la protection de la propriété morale et intellectuelle des œuvres d’art
Daniel Buren , bientôt à l’Académie des Beaux-Arts
Quand Buren fait dans l’esthétique fromagère
Le phénomène Buren : comment mesurer l’ampleur des dégâts ?
L’art du pire… empire
Le « grand » marché de l’art est proche du grand trou noir
Jack Lang déplore le « ramollissement » du débat culturel …dont il est à l’origine…
Un prix Marcel Duchamp de plus en plus scrogneugneux
L’hypothèse de la gravité du cas Venet au Louvre-Lens
L’art, c’est foutu !
Quand la malhonnêteté se déclare elle-même œuvre d’art « contemporain »…
Jack Lang soutien la candidature de Saint – Denis pour devenir capitale
européenne de la culture
De l’hypertrophie du crapoteux en AC: Mr Aillagon commente trois œuvres de la collection Pinault
Le plasticien Lavier fait le point sur son « Monument à Johnny »
Un entretien d’anthologie avec le plus farceur des plasticiens contemporains français
Du triomphal business de l’art « contemporain »
Art « contemporain » et empreinte carbone
Jusqu’où ira le délire fraqueux ?
Comment va la recherche en art « contemporain » ?
Un art contemporain en phase terminale
L’art est-il de gauche ?
« La Porcherie », haut-lieu de l’art archi- contemporain
L’art « contemporain » à la mode de Caen
Un éco-plasticien international exemplaire
La « position de l’amour » au Magasin d’art contemporain de Grenoble
Écoles d’art : c’est la criiiiise !
1 – Les écoles d’art publiques sont –elles sur le point de disparaître ?
2 -Les collectivités locales se lassent de financer à 89% l’incurie contemporaino-internationaliste des Ecoles d’art
3 – Vers la fin des écoles des Beaux-Arts ?
4 – Le harcèlement sexuel, c’est éminemment pédagogique !
5 – À l’école du cassage des codes, de la pluri-bidularité, de la sodomisation des mouches et de la fellation du néant
6 -Un très gros problème sociétal : que faire des milliers de petits diplômés sortant chaque année des écoles des Beaux-Arts ?
7 – Il faut fermer dare-dare les écoles d’art !
Il va représenter la France à la Biennale de Venise
Le gentil maire de village et le terrifiant plasticien contemporain
Bienvenue en Frakistan
Hyber, le kmer vert de l’art contemporain éco-responsable
Le Palais du Facteur Cheval livré à la verroterie d’Othoniel …après avoir échappé à Hyber et Lévêque
Le Paltok fête ses vingt ans
Hommage à nos ministres de la déconstruction culturelle française
Au secours ! le Louvre est à nouveau skatté par l’art « contemporain »
Le Poush , grosse couveuse à schtroumpfs émergents
Abbé Pierre et art « contemporain » : même combat !
Le joli cadeau fait à l’Ukraine par le plasticien Raynaud
L’art « contemporain » entre à Sciences-Po !!
Le Palais durable de Tokyova-t-il durer ?
Pâteuses du cerveau et molles du genou : les revues d’art
C’est beau, c’est grand, l’art d’État au Panthéon !
Des « présumés innocents » à Gabriel Matzneff
La pudibonderie, est-elle d’essence facho?
Fausse distinctionet vraie vulgarité en art
La crapoteuse affaire Lévèque sonne-t-elle la fin du grand délire artcontemporainiste ?
Crime dans l’art « contemporain »
L’immigration et l’art « contemporain »
Arrêtez vos plaisanteries d’art « contemporain », qui n’amusent plus personne !
Gros délire woke dans les vertes prairies de la culture normande
Les artistes humainement « mauvais, peuvent-ils être artistiquement « bons »?
Quand la Corse célèbre « son » plasticien contemporain prodigue
La peinture, c’est sale et vulgaire… L’art conceptuel, c’est propre et distingué
Une performeuse indigéniste au pied de l’obélisque de la Concorde
Sarko a trouvé ça très beau !
Art « contemporain » et cassage de codes
L’ADIAF : club des collectionneurs du Rien officiel
Du rôle central de la caisse d’emballage en art « contemporain »
Le doute et l’art contemporain
Barbapapa et art « contemporan »
À Grenoble, voici de l’art « contemporain » amélioré écolo-woke
La paysannerie française et l’ art « contemporain »
Green wasching et art « contemporain »
La culture française et le populisme , selon la ministre.
Yvon Lambert, arrivera-t-il à fourguer sa collection pourrie à l’Etat français
Vive les villas-résidences de luxe et d’AC !
Le tombeur de Claude Lévèque glorifié
Quand l’art « contemporain » tape l’incruste « chez l’habitant »
La meilleure suceuse le l’art « contemporain » français et international
Quand la cuistrerie conceptuelle se colorise
Napoléon Bonaparte et l’art « contemporain »
Le woke et l’art contemporain
Le SHED à Rouen : un hallucinant concentré de « contemporain » déconstructif, décolonialiste et dégenré
Mademoiselle Calle au Musée Picasso
Changeons de paradigme !
Une pétition avec 6000 signatures d’artistes… mais sans réponse du ministère
Pour le Tome II, je vous propose un titre pour le nouveau chapitre; L’art comptant pour rien et l’IA. C’est simple et direct, le titre contient en lui-même des promesses inédites; fini les tas de terre où la sueur se mêle à la matière, les ampoules aux mains torturées par le travail, les nuits passées à attendre l’inspiration, les clopes, les pétards la blanche etc.. pour atteindre le nirvana des éléphants roses et bien sur les boissons dopantes qui vont avec, car ce n’est qu’une question d’harmonie qu’il faut établir avant que l’oeuvre puisse apparaître entre une matière (peut-être grise) et l’artiste qui accouche. L’IA pourra nous pondre l’oeuvre qui plaira aux plus grand nombre et aussi aux plus riches d’une façon personnalisée. L’IA en dénudant la Joconde ou en revisitant se formes ouvrira, à l’art comptant pour rien, grand les portes du Louvre. Le dépotoir à Popom débauchera ses génies et les FROCS iront à la poubelle . Le seul malheur c’est que l’IA tombe en panne et qu’elle nous ponde des oeuvres vraiment intelligentes.
erratum: ses formes.