Elle est bien sûr de notre plasticien national Buren, champion toutes catégories, avec son in situ passe- partout, de l’esthétisation de la laideur, de la survalorsation du rien et de la sur-intellectualisrion de l’inepte et de la bêtise crasse
Cette oeuvre est constuée d’une suie de 7 trous circulaires entourés de béton armé rayés verticalement comme il se doit. Le tout est placé sur le rivage dans l’Ile d’Arz en Morbihan. Par ces orifices obstrués de plaques de plexiglass coloré , on peut regarder la mer ainsi colorisée , car « la couleur, c’est de la pensée pure » avait en effet déclaré un jour notre leader maximo de l’art in situ hexagonal.
Admettez avec moi que cette façon de proposer aux gens de regarder la mer à travers ces trous est d’une crétinerie indépassable, alors qu’ils peuvent bien la regarder directement sans cet artifice visuel totalement perturbateur , absurde et débilitant.
Cette réalisation burénienne de bords de mer, s’inscrit en complémentarité de l’activiré artistique du proche Domaine de Kerguehennec, haut-lieu d’art très « contemporain », conceptualo-bidulaire à souhait , et en relation étroite avec le FRAC et le Ministère. On peut y voir actuellement une expo collective intitulée « invisible » pas piquée des phosphènes et qui incite en effet à aller regarder le mer à travers les trous de Buren.
Pourtant soutenue par le fameux barde breton critique d’art Jean-Marc Huitorel , les gros bidules buréniens ne sont pas vraiment du goût des riverains paysans ou propriétaires fonciers des alentours…
Et ce n’est pas le passage des quelques rares maso-culturophiles autochtones ou touristes ahuris, pour faire bêtement des selfies à travers les trous, qui justifie le coût de cette installation exorbitant pour le Conseil Départemental du Morbihan…qui ne sait déjà pas trop comment se débarrasser, de cette patate chaude culturelle qu’est le Domaine de Kerguehennec ( objet de très coûteuses réparations en ce moment)
Sans oublier que ces inepties buréniennes sont en béton armé, inaliénables et indestructibles, et que les archéologues de années 3000, qui les retrouveront, se demanderont quelle pouvaient bien être leur signification…autre que témoignage d’un effondrement civilisationnel majeur.
(Remarquez le texte dégoulinant de niaiserie obséquieuse , au-dessous de l’image que je vous joins)
Plus d’infos :
c’est le ponpon, un jeune lycéen ferait un truc pareil dans le cadre d’un devoir d’art plastoc il se ferait envoyer bouler pour médiocrité et manque de créativité. C’est bien la place de l’homme dans la hiérarchie de l’imbécilité qui détermine son droit à ne pas réfléchir à ce qu’il fait.