L’INSÉCURITÉ ARTISTIQUE ET CUTURELLE : UNE IMPRESSION OU UNE RÉALITÉ ?

Les FRAC ne sont pas les lieux les plus sécurisés du point de vue arttistique.

Ils sont au contraire les dispositifs  culturels étatiques où la déconstruction anxiogène et la violence symbolique de l’inepte institutionnalisé atteignent un niveau record dans l’ordre du terrorisme intello de gauche.

Pour vous donner un exemple : Je reçois , ce matin, ces terrifiantes images d’œuvres exposées en ce moment au FRAC – PACA, accompagnées de l’info ,tout autant inquiétante  , selon laquelle Madame Enjalran, curateuse de l’expo et  nouvelle directice de FRAC, a l’ ambitieux projet intitulé « Faire société »,  où il sera  question du statut de l’artiste, de la dimension politique de l’art, de la nécessité de l’inscription du Frac dans son territoire et son quartier »…Ben Voyons Ginette !

Et puis je vous propose de lire  les deux textes suivants, qui vous glaceront d’effroi : le premier concernant la boule de fourrure  de gauche, et le second la boite de droite :

  1. Dans cette sculpture intitulée « Poule », « Eloise False déjoue   la planéité de l’image, en inversant l’endroit et l’envers, l’artiste nous pousse à remettre en question ce qu’on croit voir et savoir. Il s’agit d’aller au-delà des apparences et de toucher à l’ambivalence, à la multiplicité, et à la diversité du vivant, tout en en révélant les entreprises de hiérarchisations sociales et artistiques. L’artiste nous invite à s’affranchir des stéréotypes sur lesquels notre regard s’est construit « 

2- À travers cet expo intitulée « Ce que pense la main », « le Frac Sud propose dans ses murs un nouveau déploiement d’œuvres permettant de lire ou relire l’histoire de sa collection à travers le prisme du rapport de l’artiste à la main  « Si étymologiquement, le mot « art » renvoie d’abord à l’idée d’un savoir-faire (pour les Grecs, l’art était d’abord une tekhnè– une technique), on a dès l’époque moderne, différencié voire opposé les beaux-arts et les arts décoratifs. Ici les œuvres proposées permettent de mesurer la porosité entre ces domaines artistiques et la libre circulation des gestes et des expressions. »

Question violence et insécurité psycho-mentales, le champ de l’art « contemporain » n’a donc rien à envier aux autres domaines de la vie sociale….

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