LES QUATRE MAMELLES DE L’ART DIT CONTEMPORAIN

  1. LA SUR-INTELLECTUALISATION  DE LA BÊTISE

Illustrée par cette image de Jean Carrelet de Loisy d’Arcelot , directeur du Palais durable de Tokyo (qui fut aussi directeur de l’école des Beaux-Arts de Paris, et faillit être ministre de la culture) , montrant l’aiguille retrouvée dans l’ énorme botte, qu’il avait mangée lui-même.

Le directeut du Palais durable de Tokyo a trouvé l’aiguille après avoir bouffe la botte de foin

2 – LA SUR-ESTHÉTISATION DE LA LAISEUR

Illustrée par cette image de divine Orlan, alors compagne du Président (à cheveux jaunes)  de l’association des critiques d’art français.

La divine Orlan, figure de proue et de poupe
de l’art « contemporain »

3 – LE SUR-DIMENSIONNEMENT DE L’INSIGNIFIANCE

Illustrée par l’image de cette gigantesque bâche, intitulée HCYS (« How Can You Sleep ? » : ce qui ne veut strictement rien dire) ,  installée sur un mur voisin du FRAC –Lorraine, et n’étant visible, malgré sa taille, que d’un pigeonnier quasi inaccessible…Un  quasi rien, vu par quasi personne, dont on ne connaît pas le coût financier pour le citoyen contribuable français

La grande bâche de Tania Mouraud au FRAC Lorraine

4- LA SUR-MÉDIATISATION DU MÉDIA-MÊME

Illustrée par cette image du prestigieux (en soi) Jack Lang, qui est considéré par beaucoup de ses admirateurs comme un « média en soi »… Un « méta-média en quelque sorte.

Jack Lang, le « média en soi « 

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