Haut-lieu du wokisme platicien, haut-lieu d’exclusion de toutes les formes non conceptualo-bidulaires agréés par les système de domination institutionnel et marchand réunis, l’ENSBA-Nîmes compense cette défaillance de fond , par son engament frénétique à :
– lutter contre les oppressions systémiques présentes au sein
de notre société par exemple racisme, antisémitisme, islamophobie, sexisme, validisme, LGBTI-phobies, classisme, âgisme…
– à défendre l’égalité et l’équité de tou·te·s pour que chacun·e puisse y travailler dans les meilleures conditions et s’y épanouir.
– à défendre l’égalité et l’équité de tou·te·s pour que chacun·e puisse y travailler dans les meilleures conditions et s’y épanouir.
– à dénoncer toutes situations de discrimination,
de harcèlement, violences, de diffamation ou d’abus de pouvoir.
Il existe même un système d’alerte disrimination qui permet, en cas d’urgence, de contater des référent·e·s, parmi lesquels Sohie Lvoff et Mathieu Kleyebe Abonnenc, dont je vous ai joint les images d es œuvres:
referent.e.egalite@esba-nimes.fr
OÙ EN EST-ON À L’ÉCOLE DESS BEAUX-ARTS DE BORDEAUX ?
En 2017, le harcélement sexuel profs-élèves était une pratique pédagogique courante, dans beaucoup d’Ecoles des Beaux-arts…et plus spécialement à celle de Bordeaux.
Voici un petit extrait de l’effarant témoignage d’une ancienne élève de la dite école, qui a beaucoup circulé sir les réseaux sociaux et provoqué quelque émoi dans l’ENSEAD ….On ne sait pas si depuis lors, le wokisme est passé aussi par là-bas pour faire un peu le ménage.
Une ambiance transgressive
« En première année, je suis tombée sur des gens extrêmement prétentieux, qui se disaient déjà “artistes” etqui méprisaient les autres, les plus réservés. Des groupes se sont très vite formés au sein de la promo et je n’ai pas du tout eu l’occasion de m’intégrer dans un de ces groupes. Pourquoi ? Je n’étais pas vraiment dans “l’ambiance” Beaux-Arts. Ce qui est drôle (ou pas) c’est que je m’étais dit qu’en venant aux Beaux-Arts, je rencontrerais des personnes ouvertes d’esprit et passionnées, avec lesquelles je pourrais parler de tout pendant des heures. La désillusion ne fut que plus violente. Les sujets de conversation ne tournaient qu’autour des multiples soirées durant lesquelles élèves et profs couchaient ensemble et se droguaient. Si tu veux rentrer dans ce monde, tu as intérêt à faire la même chose que les autres. Le problème, c’est que ma vision du rapport élève/professeur ne correspondait absolument pas à la réalité de cette école. Ici on se tutoie, on se tape dans le dos, on fait des blagues salaces, on suce et on prend tout ce qui passe en soirée pour être en bon rapport avec tout le monde.
L’école des Beaux-Arts de Bordeaux dispose d’une annexe, “Le café
pompier”, juste à côté, dont le rez-de-chaussée est un café « associatif »
tenu par quelques élèves triés sur le volet (les plus lookés et les plus méprisants
aussi). Ce « café » est l’endroit où toutes les soirées se passent et si tu
veux faire partie des gens cool, tu ne dois rater aucune soirée. C’est « Th e
place to be ». C’est également l’endroit où tu suces pour monter ta côte de
popularité auprès des profs et où tu écoutes de la « bonne musique » parce
que de merde. Ici, tout le monde se connaît et « s’adore », on picole, on
danse, on drague, et on prépare les coups de pute du lendemain. Je pense
que j’ai dû aller à deux ou trois soirées max, et j’en suis partie aussi vite
que je suis arrivée. »