Sur proposition de sa section de sculpture, l’Académie des beaux-arts a attribué, pour l’année 2025, le Grand Prix de l’Académie des beaux-arts en sculpture à Pascale Marthine Tayou., qui vit et travaille en Belgique

Je vous joins les images des œuvres les plus marquante de ce virtuose de l’accumulatif :




- Un tas de tables dans le cadre d’une biennale internationale quelconque
- une colonne de casseroles dans une église
- un tas de drapeaux africains signifiant sans doute son engagement décolonialiste
- un gigantesque bouquet de cuvettes en plastique pour dénoncer l’aliénation ménagère de la femme au foyer et faire la pige avec le bouquet de tulipes de Jeff Koons
Avec la nomination des plasticiens déconstructifs Hyber, Othomiel, Bustamante, Mouraud etc. comme membres de l’Académie des Beaux-Arts , on croyait avoir touché le fond…le fond du fond…l’extrémité indépassable du grotesque artistique
Avec cette récente récompense hallucinante à Tayou , le système bureaicratico-financiaro – totalitaire de l’art contemporain français va encore plus profond dans son inanité consubstantielle..
Il faut dire que l’artiste, spécialiste de l’hybridation des formes et de leur circulation en dépit des frontières (ben voyons ! pourquoi se gêner ?) , est d’abord un excellent communicant, stratège de la récupération charognarde de toutes les bonnes causes sociétales bien porteuses, pour se faire reconnaître de l’appareil institutionnel et grand marchand. … Notons que Tayou est un excellent produit financiaro -spécutif vendu par la méga multi nationale financial-gallery Continua.
Quelques exemples significatifs:
Il se fait connaître d’un large public international au début des années 1990 avec une première série d’œuvres consacrées au sida..
Ensuite il ajoute un “e” à ses deux prénoms, pour leur donner une terminaison féminine, se distançant ainsi avec ironie de l’importance de la paternité artistique et de l’assignation masculin/féminin.
Depuis, il a abordé d’autres thèmes contemporains, tels que la ruralité ou le mondialistaion…ou les deux ensemble.
On attend la nomination à l’Academie des beaux-Arts de Kader Atta et Adel Abdessemed comme autres produits très lucratifs de la repentance décolonialiste d’Etat…
Je découvre, tout les jours…
moi je dis rien sinon je serai accusé d’extrémiste du mauvais côté