L’art dit contemporain, chacun le sait maintenant, est l’excrétion boursoufflée d’un entre-soi institutionnel fermé sur lui-même depuis plusieurs décennies.
Le wokisme est de la même façon une sorte de hernie apparue sur l’ entre-soi surchauffé du gauchisme intello-culturel déconstructif universitaire
Ces deux aberrations sociologiques ou sociétales sont apparues simultanément et ont tendance aujourd’hui à se conjuguer pour se renforcer l’une l’autre.
De plus en plus de plasticiens en mal de nécessité artistique profonde, compensent leur vacuité de fond par un fort engagement idéologique progressiste et défenseur des minorités opprimée. Cet engagement leur vaut une rapide reconnaissance de l’appareil ministèriel.
Le plasticien concetualo-bidulaire Lautent Perbos est un des plus fameux de ceux – là
Une réalisation très déconstructive du plasticien Perbos
Il vient de réaliser, avec l’onction du Ministère de la Culture et de Réunion des Musées Nationaux, cet alignement de six Vénus de Milo devant le Palais Bourbon à l’occasion des Jeux Olympiques
En redonnant des bras à ces Vénus qui les avaient perdus, et en leur permettant ainsi la pratique du kick-boxing, du javelot, du tir à l’arc, de la planche à roulettes, il a voulu mette en lumière « l’inclusivité », « l’égalité », « le respect pour tous » et « la féminité ».
Il nous précise en outre , que la résine acrylique utilisée pour ces Vénus de Milo aux couleurs de l’arc en ciel LGBTQ X+, est « écologique »…
La question est : ce type d’art contemporain woko-responsable est-il vraiment durable ?