Cela se passe en ce moment à la galerie d’art brut financier Christian Berst.
La plasticienne conceptualo-posturale internationale Sophie Calle est invitée à échanger et dialoguer avec les œuvres d’art brut de la collection de ladite galerie


L’exposition est intitulée « le manque »…Comme si , en effet, il s’agissait de combler le manque, l’absence ou le non-sens consubstantiels à l’art dit « contemporain », dont Sophie Calle, la « Midinette du conceptuel », est une des figures emblématiques.
Cette opération s’inscrit dans cette pratique coutumière du parasitage de l’art à valeur patrimoniale , par l’art « contemporain » sans contenu ni valeur patrimoniale.
Dans cette même galerie avait eu lieu le lancement du hors-série d’Art press sur l’art brut : une opération de récupération, intellectualisation, conceptualisation, posturalisation, financiarisation, prostitution et bureaucratisation de l’art brut avec l’incontournable chroniqueur d’art Philippe Dagen et le plasticien Boltansky qui osait , pour l’occasion, avait déclaré qu’il ne connaissait rien à l’art brut.
Plus d’infos ici :