Et pourtant, l’agence de presse Claudine Colin, en situation quasi monopolistique, avait raflé, depuis plusieurs décennies, les plus gros annonceurs dans le domaine culturel et artistique en France.
Elle est l’agence préférée des plus puissants dispositifs pour le rayonnement de l’art « contemporain » dans l’hexagone…Elle déclare : « accompagner les dirigeants de la sphère artistique et culturelle, publique et privée, dans la conception et la mise en œuvre de leur stratégie de communication et d’influence pour la notoriété de leurs projets. »…Ben voyons Ginette !
S’y côtoient, dans une fraternelle complicité, les plus gros générateurs, tant institutionnels que privés, de l’art financiaro-contemporain de type gaucho-conceptuaolo-bidulaire.
Voir ici la liste de ces prestigieux clients :
Elle est la championne des élégants déjeuners de presse où s’agglutinent journalistes, pigistes, chroniqueurs d’art, et apparatchiks du système, qui peuvent se retrouver et renforcer leur entre soi paranoïde de classe et leur consanguinité art-contemporainiste un rien dégénraative.
Elle est la plus performante pour justifier l’existence des expos qu’elle promotionne en compensant leur tragique manque de contenu et de public, par un flot de textes laudateurs qu’elle fait publier dans les grands journaux politiquement corrects, écrits par des critiques d’art artistiquement corrects aussi et bien alignés sur la doxa esthétique dominante… Ceux.celles du journal Le Monde étant les meilleurs.es dans ce registre du processualo-discursif délirant..
Avec la société FINN Partners, Claudine Colin Communication pourra désormais « ne pas arrêter de surprendre, enchanter et éblouir », conformément au slogan de ladite société absorbeuse… Elle deviendra surtout le parfait outil de ramassage par une structure privée de cette partie des subventions publiques consacrée à l’indispensable publicité des événements produits par l’appareil institutionnel avec l’argent du citoyen… Bonjour la collusion intérêts privés et publics ainsi renforcée !
Une fois de plus je ne vois pa ce qu’il y a de « gaucho » dans ces bourgeois parisiens et leur entre-soi. La dernière fois qu’il y a eu quelqu’un de « gôche » dans leur foutoir c’était Jack Lang au XXe siècle hinhinhin. Ton humour répétitif à base d’accumulations ne me fait plus rire, où est passée la Nicole d’il y a quelques années qui explosait la bétise de cette classe de parasite avec une verve bien plus constructive que ça (cf « la bouffonnerie de l’art contemporain » qui rest un must de la guerilla anti con)