LA TRAGÉDIE DES ÉCOLES D’ART PUBLIQUES

PORTES OUVERTES À L’ÉCOLE NATIONALE DE BEAUX-ARTS DE PARIS

Voici quelques images, envoyées par une amie, d’ œuvres exposées lors de ces portes ouverts 2024 à l’ENSBA-Paris.

Il semble évident qu’il vaudrait mieux que les portes de ce prestigieux établissement soient fermées définitivement…Et qu’elles le soient aussi dans toutes les écoles d’art publiques, nationales, régionales, départementales ou municipales…Car elles sont toutes dans une même  phase terminale de conceptualopathie posturale aigue.

Nous sommes là, en face d’une épouvantable  tragédie humaine autant qu’artistique

Comment aurait-on pu imaginer ou prévoir cela ?

Comment l’expliquer ?

Comment arrêter ce carnage ?

Que vont devenir ces lieux d’un décervelage d’une cruauté inouïe ?

Que vont devenir tous ces élèves et ces profs estropiés de la tête et du cœur ?

Que va-t-on faire des dizaines de milliers d’ « œuvres » de cet acabit bourrant les FRAC et les collections publiques ?

Que va devenir Alexia Fabre, actuelle directrice de cette école ? Va-t-elle pouvoir être exfiltrée vers la collection Pinault ou la Fondation Pernod Ricard (à consommer avec modération) ?

Qu’est-ce que l’art à fait au Bon Dieu pour être ainsi outragé?

Plus d’infos sur cette manifestation, ici :

https://beauxartsparis.fr/fr/actualite/ateliers-ouverts-2024

une oeuvre puissamment métaphorique

2 thoughts on “LA TRAGÉDIE DES ÉCOLES D’ART PUBLIQUES”

  1. Avoir fait en sorte de permettre de dire que tout est « art », est certainement la méthode la plus indolore que l’inculture contemporaine ait trouvé pour détruire le sens, la figure, la chair, le paysage, l’histoire et, ce faisant, mettre l’art à mort sans que le ministère de la culture, les galeries marchandes, foires en tous genres et une abondance de spectateurs, ne regrettent et ne discernent son absence !

    Le façonnement d’une indifférence croissante en regard de ce qui est laid et de ce qui beau, de ce qui est intelligent et de ce qui est stupide et con, de ce qui est vrai et de ce qui est faux – la fusion de l’indifférenciation avec l’indifférence, qui obstrue les sens et la conscience – n’est pas et ne sera jamais de l’art.

    « Dingue et si triste, (m’a dit une amie en regard des photos des supposées « œuvres d’art » prises aux ateliers ouverts de l’école nationale supérieure des beaux-arts de Paris).
    On ne peut pas le croire et pourtant cela perdure depuis des années !!
    Le triste tableau d’une désolation déjà souveraine s’étale avec morgue et indécence.
    Mortifère, désenchanté, absurde, démodé, muet, laid, inutile…
    Les qualificatifs ne manquent pas.
    Le triomphe déraisonnable d’un art mort-né voué au NÉANT !!
    Une magistrale foutaise aux relents nauséabonds !
    A vomir !!!
    Bon courage devant cette « artistique » poubelle ! ».

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