Jessica Stockholder est une vieille plasticienne contemporaine d’origine canado-américaine, mais surtout connue en Europe, où , depuis trente ans elle écume les lieux d’art contemporain institutionnels, et surtout en France , où elle est la coqueluche des FRAC, qui se l’arrachent les uns après les autres et collectionnent amoureusement ses bidules colorés qu’elle appelle « peintures dans l’espace »
Son travail in situ à elle consiste à ramasser toutes sortes d’objets qu’elle peut trouver aux alentours de son lieu d’intervention : déchetteries, brocantes, super marchés , kiloutous, quincailleries, etc…pour en faire des décorations intérieurs très ludiques fraiches et printanière, plaisant aux enfants, aux vieux encore facétieux et aux insoumis de toutes obédiences politiques, religieuses iu sexuelles….
Aucun idéologie, aucun message politique ou sociétalo-qustionnatoire dans ce travail. Aucune trace de wokisme. Aucune dimension métaphorique Aucun sens particulier. Aucun contenu véritablement artistique . Non, rien d’autre que de l’inepte pur et gratuit., rien que du rien pour exciter à fond la spéculation intellectuelle dans une petite population d’adeptes de l’Art contemporain dont il faudrait analyser la typologie psycho- patho- socio-professionnelle, pour comprendre la nature de cet invraisemblable délire.
La video youtube de 4 mn dont je vous joins le lien vaut d’être écoutée et regardée. c’est un trace éloquente de la vacuité esthétique, intellectuelle et morale d’une époque.
On y voit notamment le nommé Vincent Pecoil, ex galeriste subventionné parisien, que son pote le fameux Olivier Vadrot , prof-artiste multidisciplinaire, a réussi à faire caser comme directeur de FRAC.. pour lui assurer ensuite une confotable retraite au frais du citoyen contribuable.
Pour cette expo en Normandie , Jessica a même utilisé une vieille armoire normande trouvée chez le broc du coin.pour faire plus couleur locale